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Analyse "marxiste" du cryptomining par Chat-GPT/shaare/jHBZVw

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Note : Intervention humaine : Nous nous sommes limités à trouver un nom de remplacement ( "Communalia") pour le "projet de Réseau coopératif numérique pour la production et la redistribution de valeur d’usage" produit par ChatGPT, le nom fourni par l ' IA existait déjà et pouvait prêter à confusion.

En tant qu’économiste marxiste, j’analyserais le cryptomining à travers les prismes fondamentaux du marxisme : la critique de l’économie politique, les rapports de production, la valeur, et l’aliénation. Voici une analyse structurée selon ces concepts :

1. Le cryptomining comme forme de valorisation fictive du capital

Le minage de cryptomonnaies consiste à allouer des ressources matérielles (ordinateurs, électricité) pour obtenir une marchandise numérique (ex. : Bitcoin). Du point de vue marxiste :
Il ne produit aucune valeur d’usage réelle :
Le Bitcoin n’a pas d’utilité intrinsèque en dehors de l’échange. Il est l’exemple d’un bien purement spéculatif. La création de cryptomonnaies ne repose pas sur le travail vivant, mais sur le travail mort (machines), accentuant la tendance du capital à s’autonomiser de la production matérielle. Cela incarne le capital fictif : des actifs qui prétendent à une valorisation sans ancrage direct dans la production de biens ou services utiles.

2. Une nouvelle forme d’aliénation et de fétichisme de la marchandise

Le fétichisme de la marchandise, selon Marx, désigne le fait de percevoir les rapports sociaux comme des rapports entre choses. Le Bitcoin pousse ce processus à l’extrême :

Il dissimule les rapports sociaux derrière une façade technique : algorithmes, décentralisation, “preuve de travail”…

Il donne l’illusion d’un argent “neutre” ou “émancipé de l’État”, alors qu’il repose sur une infrastructure matérielle très concrète (extraction minière de composants, serveurs, exploitation de main-d’œuvre).

3. Rapports de production : décentralisation ou capitalisme 2.0 ?

La promesse du cryptomining est celle d’un système monétaire décentralisé, échappant au contrôle des banques et des États. En réalité, Le minage est aujourd’hui hautement centralisé : quelques grandes entreprises (souvent en Chine, au Kazakhstan, ou au Texas) contrôlent la majorité du hashrate. Il crée de nouveaux monopoles technologiques : accès préférentiel à l’électricité bon marché, à du matériel informatique spécialisé (ASICs).
On assiste donc à une reconcentration capitaliste autour d’une nouvelle rente technologique.

4. Exploitation et externalisation des coûts

Le cryptomining consomme une énorme quantité d’énergie, souvent issue de sources fossiles, sans produire de biens tangibles.
Les coûts environnementaux sont externalisés vers la société. Dans certains cas, les installations de minage déplacent l’accès à l’électricité au détriment des populations locales, accentuant les inégalités Nord/Sud et la prédation énergétique.

5. Une bulle spéculative au service de la financiarisation

Le Bitcoin est intégré aux circuits de la finance mondiale, utilisé comme actif spéculatif, voire refuge, par les élites financières. Le minage devient une manière de transformer de l’électricité en capital fictif, tout en renforçant l’idéologie libertarienne du marché pur. Cela alimente ce que Marx appellerait une crise de suraccumulation : le capital cherche désespérément de nouvelles sphères où se valoriser, même virtuelles ou improductives.

Conclusion

Le cryptomining n’est ni une révolution économique, ni un outil d’émancipation. Il est un symptôme avancé du capitalisme tardif, où la création de valeur tend à se détacher toujours plus du travail humain et de la production matérielle. Derrière le vernis de la technologie décentralisée se cache une dynamique bien connue : accumulation du capital, extraction de valeur, exploitation des ressources et aliénation généralisée.


1. Impacts du cryptomining dans le Sud global

a. Nouvelle forme d’extractivisme numérique

Le cryptomining, dans le Sud global (Amérique latine, Afrique, Asie centrale), s’inscrit dans la continuité des rapports impérialistes, mais avec une nouvelle forme : Infrastructure énergétique colonisée : les entreprises de mining s’installent dans des pays disposant d’électricité bon marché (souvent subventionnée par l’État) et de faibles régulations environnementales. Exemple : des fermes de minage au Paraguay (barrage d’Itaipu) ou en Iran utilisent l’électricité à bas coût destinée à la population. Cela constitue une nouvelle rente énergétique néocoloniale : les ressources naturelles (barrages, charbon, gaz) sont détournées pour alimenter une activité spéculative au profit du capital international.

b. Spoliation énergétique et déséquilibres sociaux

Détournement de l’énergie publique : dans plusieurs pays, les cryptomineurs accaparent l’électricité en quantité, créant des coupures pour les ménages ou des hausses de prix. Pollution et destruction écologique : dans des régions sans énergie renouvelable, on relance des centrales thermiques ou on consomme du carburant fossile, exacerbant les injustices climatiques. Ceux qui subissent les effets du minage sont souvent les populations les plus pauvres. Inégalités d’accès aux infrastructures : des millions de personnes n’ont pas d’électricité stable, pendant que les fermes de minage tournent en continu pour enrichir une minorité transnationale.

c. Travail informel et exploitation

Dans certaines zones, des jeunes s’improvisent mineurs en ligne, souvent dans des conditions d’exploitation numérique : accès instable à Internet, travail 24h/24 dans des “crypto sweatshops” (notamment dans des pays comme le Venezuela, le Nigeria ou le Ghana). Le minage domestique devient un filet de survie précaire, exposé à la volatilité des cryptos et à la répression étatique ou policière.

2. Y a-t-il des alternatives socialistes au cryptomining ?

Du point de vue marxiste, une alternative socialiste ne peut reposer ni sur l’individualisme libertarien de la blockchain, ni sur la financiarisation de la monnaie. Mais on peut envisager plusieurs pistes :

a. Systèmes monétaires locaux, autogérés et déconnectés du profit.

Des projets comme les monnaies locales complémentaires (ex. : SOL-Violette à Toulouse, Chiemgauer en Allemagne) peuvent être réinterprétés dans un cadre numérique coopératif, où la monnaie est adossée à des biens ou services concrets, pas à une “preuve de travail” énergétique. Une monnaie numérique socialiste devrait être :

-Gérée démocratiquement par des communs numériques.
-Liée à des objectifs écologiques (par exemple, comptabiliser les droits à l’énergie ou à l’eau).
-Inconvertible en capital spéculatif.

b. Blockchain écosocialiste ou “proof-of-usefulness”

Des chercheurs marxistes et écologistes explorent des alternatives au Proof of Work (PoW) énergivore, comme des blockchains à usage social : par exemple, valider des blocs en contribuant à des tâches utiles (calculs scientifiques, stockage décentralisé, etc.).
Idée émergente : une blockchain socialiste pourrait être un registre décentralisé de ressources, non pas un marché spéculatif mais un outil de planification coopérative (par exemple, pour gérer la distribution de ressources dans des ZAD ou des éco-communautés).

c. Socialisation de l’infrastructure numérique

Au lieu de laisser les fermes de mining aux mains du capital, une perspective socialiste impliquerait :

  • Une nationalisation ou communalisation des serveurs, data centers, rĂ©seaux Ă©lectriques.
  • Une gouvernance collective de la production numĂ©rique, fondĂ©e sur les besoins sociaux, pas sur l’accumulation privĂ©e.

Conclusion

Le cryptomining dans le Sud global renforce les dynamiques néocoloniales et extractivistes, aggravant les inégalités sociales, énergétiques et écologiques. Sous une apparence technique et décentralisée, il reproduit des logiques impérialistes et capitalistes bien connues. Les alternatives socialistes ne passent pas par une meilleure blockchain ou un "crypto rouge", mais par une réinvention de la monnaie, de la valeur et des infrastructures numériques au service des besoins humains et écologiques, dans une logique coopérative, planifiée et désaliénée.


Voici un exemple concret et détaillé d’un projet numérique à visée socialiste, fondé sur les principes évoqués précédemment : coopération, utilité sociale, gouvernance collective, sobriété énergétique. Le projet s’appelle :

COMMUNALIA – Réseau coopératif numérique pour la production et la redistribution de valeur d’usage.

🎯 Objectif principal

Créer une infrastructure numérique décentralisée, autogérée par des communautés locales, qui permette :

  • La gestion collective de ressources (Ă©nergie, alimentation, transport, santĂ©).
  • La production de valeur d’usage (savoirs, services, solidaritĂ©)
  • Une forme de monnaie numĂ©rique locale (non spĂ©culative), indexĂ©e sur la contribution utile Ă  la collectivitĂ©

🏗️ Architecture générale du système

1. Infrastructure : serveurs communautaires + mini-data centers

Chaque quartier, ZAD, ou coopérative locale dispose d’un nœud physique (serveur) hébergé dans une école, une bibliothèque, ou un centre social. Ces serveurs utilisent des ordinateurs de récupération et sont alimentés par des sources renouvelables locales (solaire, éolien, micro-hydro…).

2. Logiciel libre et blockchain d’utilité

Communalia repose sur une blockchain coopérative (basée sur un consensus de type Proof of Usefulness) : Chaque “bloc” validé correspond à une contribution réelle : cours donné, heures de soins, partage de matériel, réparations, etc. Ces contributions sont certifiées par des pairs humains (réputation, vote, traçabilité), et non par des calculs énergivores.

3. Token local de réciprocité (non spéculatif)

Le système génère des unités d’échange appelées “Communs”. Ces “Communs” ne peuvent pas être convertis en euro/dollar, mais sont utilisables localement pour accéder à des biens/services :

  • ex. 5 Communs = 1 panier bio, 1 trajet solidaire, 1 passage chez le dentiste coopĂ©ratif.

L’accumulation est limitée par un mécanisme de démurrage (perte progressive des unités non utilisées), ce qui invalide la thésaurisation et la spéculation.

🌱 Fonctions clés et cas d’usage

A. Planning coopératif

Plateforme de planification décentralisée : qui cultive quoi, qui répare quoi, qui a besoin de quoi ?
Une logique inspirée de la planification socialiste cybernétique (ex. : le projet Cybersyn au Chili), mais décentralisée et locale.

B. Gestion collective de l’énergie

Visualisation en temps réel des capacités de production locale d’électricité. Les usagers adaptent leurs usages ou priorisent des services (ex. santé, froid alimentaire) selon une gouvernance collective.

C. Économie du care et du commun

Les soins, la garde d’enfants, l’aide alimentaire, le soutien psychologique sont reconnus et valorisés dans le système. Cela permet une reconnaissance économique du travail reproductif, souvent invisible dans l’économie capitaliste.

D. Souveraineté numérique

Tous les outils (code, matériel, documentation) sont open source. Les données sont hébergées localement, chiffrées, et accessibles selon des protocoles démocratiques.

🤝 Gouvernance

  • Chaque communautĂ© dispose d’une assemblĂ©e numĂ©rique et physique (modèle de dĂ©mocratie directe).
  • Les Ă©volutions du protocole sont dĂ©cidĂ©es collectivement (modèle proche du fĂ©dĂ©ralisme libertaire numĂ©rique).
  • Des commissions mixtes (techniques, politiques, sociales) assurent l’interopĂ©rabilitĂ© entre les nĹ“uds.

⚖️ Principes fondamentaux (version résumée)

Principe Mise en œuvre
Utilité sociale Preuves de travail réellement utiles (care, savoir)
Démocratie numérique Assemblées + logiciel libre + gouvernance partagée
Sobriété énergétique Low-tech, énergie verte, matériel recyclé
Anti-spéculation Monnaie locale, inconvertible, limitée dans le temps
Autonomie collective Planification participative, données locales

🛠️ Inspirations réelles pour ce projet

FairCoin et le réseau FairCoop (tentative de crypto-communalisme)

Mondragon (coopératives basques)

Reseau EnCommuns (France)

Projet Holochain (infrastructure distribuée alternative à la blockchain classique)

Cybersyn au Chili d’Allende (cybernétique et planification démocratique)

📍Conclusion

COMMUNALIA n’est pas un projet utopique de science-fiction : c’est une matérialisation pratico-technique d’un socialisme numérique ancré dans la sobriété, la solidarité et l’autogestion. Il se fonde sur la réinvention des infrastructures numériques au service de la vie, pas du profit, et pourrait constituer un laboratoire de résistance concrète dans un monde en crise énergétique, sociale et climatique.

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June 7, 2025 at 3:51:11 PM GMT+2

Bernard Friot : “Devoir attendre 60 ans pour être libre, c’est dramatique”https://12ft.io/proxy?q=https://www.philomag.com/articles/bernard-friot-devoir-attendre-60-ans-pour-etre-libre-cest-dramatique

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Source Philosophie magazine - 06.03.2023
Bernard Friot est économiste et sociologue, auteur de plusieurs ouvrages sur la question du travail dont le dernier, Prenons le pouvoir sur nos retraites (La Dispute, 2023), vient de paraître. Penseur marxiste, très lu et apprécié à gauche, il juge sévèrement la réforme des retraites et appelle à reconsidérer en profondeur notre rapport au travail, à travers l’idée originale d’un « salaire continué », à vie, pour tous les individus majeurs. Il nous explique de quoi il retourne.

“Je plaide pour un salaire à vie et une échelle des salaires considérablement réduite”

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March 9, 2023 at 2:10:03 AM GMT+1

Pour une décroissance écosocialistehttps://www.contretemps.eu/decroissance-ecosocialiste/

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CONTRETEMPS - 26.06.22

Michael Löwy, Bengi Akbulut , Sabrina Fernandes et Giorgos Kallis

rofusz_kinga_.th.jpg

La décroissance et l’écosocialisme sont deux des plus importants mouvements – et propositions – du côté radical du spectre écologique.

Bien sûr, tous les membres de la communauté de la décroissance ne s’identifient pas comme socialistes, et tous les écosocialistes ne sont pas convaincus de l’intérêt de la décroissance. Mais on peut voir une tendance croissante au respect mutuel et à la convergence.

Michael Löwy, Bengi Akbulut, Sabrina Fernandes et Giorgos Kallis, essaient ici de cartographier les grands domaines d’accord entre ces deux courants, et énumèrent certains des principaux arguments en faveur d’une décroissance écosocialiste.

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June 28, 2022 at 2:20:57 PM GMT+2

L'effondrement de l'écologie de marchéhttp://www.politis.fr/articles/2022/04/leffondrement-de-lecologie-de-marche-44344/

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Politis • 20 avril 2022 (accès libre)

Jean-Marie Harribey*

« La guerre de Poutine contre l’Ukraine apporte la preuve que l’écologie de marché est une impasse : tous les experts néolibéraux assuraient que l’augmentation des prix des énergies fossiles accélèrerait la transition vers les renouvelables. »

« Or, on assiste à l’inverse : le signal prix fonctionne à l’envers en incitant les pétroliers à remettre en chantier des forages d’hydrocarbures qui redeviennent brusquement rentables. Seule une planification écologique démocratique contribuerait à accomplir le saut qualitatif que représente une transition sociale et écologique. Tant sur les plans conceptuel que politique, l’écologie surplombant le social ne peut convaincre la classe populaire de se saisir des enjeux du climat et de la biodiversité si le travail vivant est ignoré. »

* Membre du conseil scientifique d’Attac, auteur de « En finir avec le capitalovirus » Dunod, 2021.

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April 26, 2022 at 6:07:06 PM GMT+2

Écologie : construire des coalitions révolutionnaireshttps://www.revue-ballast.fr/ecologie-construire-des-coalitions-revolutionnaires/

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BALLAST • 14 Avril 2022

Jaskiran Dhillon

L’écologie est anti­ca­pi­ta­liste ou elle n’a rien d’é­co­lo­gique : la chose com­mence à se savoir. Entre 1990 et 2015, les 10 % les plus riches de la popu­la­tion mon­diale ont ain­si été res­pon­sables de 52 % des émis­sions de CO2 cumu­lées. Cent entre­prises sont quant à elles res­pon­sables de 70 % des émis­sions glo­bales de gaz à effet de serre. Jaskiran Dhillon, mili­tante, ensei­gnante en anthro­po­lo­gie et autrice de Prairie Rising : Indigenous Youth, Decolonization, and the Politics of Intervention, a gran­di en ter­ri­toire autoch­tone cree, au Canada. « Nous ne pou­vons pas amé­lio­rer la situa­tion en pro­mou­vant de meilleurs choix de consom­ma­tion qui pri­vi­lé­gient le chan­ge­ment de com­por­te­ment indi­vi­duel », rap­pelle-t-elle dans ce texte, que nous tra­dui­sons. Elle invite à l’é­lar­gis­se­ment de la com­pré­hen­sion du péril cli­ma­tique et à la for­ma­tion d’al­liances et de coa­li­tions anti­ca­pi­ta­listes, anti-impé­ria­listes, anti­ra­cistes et fémi­nistes. Autrement dit, à réflé­chir aux pos­si­bi­li­tés d’une trans­for­ma­tion glo­bale et popu­laire.

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April 17, 2022 at 8:46:09 AM GMT+2

Qui empĂŞchera la catastrophe ? Sur "La chauve-souris et le capital" d'Andreas Malmhttps://acta.zone/max-ajl-andreas-malm-qui-empechera-la-catastrophe/

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ACTA - 30.11.2020

Max Ajil

Andreas Malm a publié cette année «La chauve-souris et le capital. Stratégie pour l’urgence chronique» (éditions La fabrique), où, prolongeant ses thèses sur le « capitalisme fossile », il se confronte aux modes de résolution possibles de la crise climatique en cours, à la lumière de la pandémie de Covid-19 et des interventions étatiques d’urgence élaborées pour y faire face. Malm y plaide pour un « léninisme écologique » qui adapterait aux conditions du présent le communisme de guerre mis en place par les bolchéviques après la Révolution d’Octobre.
Dans le texte qui suit, Max Ajl propose une critique des solutions programmatiques de Malm, pointant notamment le caractère « purement hypothétique et textuel » de son léninisme écologique – dont le sujet demeure introuvable – au mépris des luttes populaires réelles, sur le continent américain et ailleurs, en internalité auxquelles tout projet révolutionnaire devrait se fonder. Il nous a semblé que ces objections, parfois vigoureuses, méritaient d’être traduites, tant le débat sur les stratégies révolutionnaires écologiques est essentiel aujourd’hui et d’autant plus qu’Andreas Malm nous a promis d’y répondre dans les mois qui viennent.

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December 4, 2020 at 6:40:08 PM GMT+1

"Crise et relance, l'urgence d'amorcer une véritable reconstruction écologique de la France"https://www.youtube.com/watch?v=_vWn5M1Tdvc

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YouTube - Ville de Grenoble

Gael GIRAUD

Une conférence en ligne de Gaël Giraud pour la Ville de Grenoble le 01/10/2020

Introduction d'Eric Piolle, maire de Grenoble, présentation et animation Antoine Back, adjoint Risques, prospective, évaluation et nouveaux indicateurs, stratégie alimentaire. (1h40)

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November 3, 2020 at 10:09:02 AM GMT+1

Le pire n'est pas certain, Essai sur l'aveuglement catastrophiste./shaare/ann4Dw

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de Catherine et Raphaël Larrère

Note : Ce petit essai est bâti autour de l' idée suivante: l’écologie radicale ne doit pas se laisser absorber dans un courant qui finalement dessert ses objectifs.
Aucune polémique déplacée, il n’est pas question, pour Catherine et Raphaël Larrère, de nier que nous connaîtrons des catastrophes dans un futur plus ou moins proche. Ce qui est visé est l'effet de découragement, voire de sidération des thèses des collapsologues.
C’est en politisant l’écologie et en adoptant un point de vue local que s'ouvriront de nouvelles et multiples possibilités d’action. Loin de minimiser la catastrophe on parviendra peut-être ainsi à l'éviter – car elle est évitable. Et que l'urgence des urgences est de gagner résolument et collectivement en puissance d'agir.
L.P

  • Le pire n'est pas certain, Catherine & RaphaĂ«l Larrère, Editions Premier Parallèle, 208p, septembre 2020. 18 € papier , 11,99€ numĂ©rique. ISBN papier : 9782850610424 - numĂ©rique : 9782850610431

  • Recensions : Premier Parallèle, Philosophie Magazine , HumanitĂ© & BiodiversitĂ© , Anti-K ...

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September 19, 2020 at 10:39:44 AM GMT+2

Appel du 17 juin et signataires – 17juinhttps://17juin.noblogs.org/appel-du-17-juin-et-signataires/

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appel à agir contre la réintoxication du monde

Les scientifiques nous donnent 10 ans pour diviser par 3 les émissions de gaz à effet de serre des français. Partout en France, des sites ou des projets menacent la nature, la santé, le climat.

Des collectifs d’habitants se mobilisent déjà ou veulent se lancer pour les arrêter, et nous allons les y aider ! Nous avons besoin de vous pour rejoindre cette bataille près de chez vous.

(...)

Car c’est là que nous pouvons agir : c’est au niveau local que se trouvent 50 à 70% des solutions pour le climat selon le GIEC. C’est là qu’ont été gagnées des batailles majeures, contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, l’autoroute A45 ou le méga-complexe Europa City.
Nous avons également identifié des nouveaux territoires au potentiel de mobilisation fort pour y stopper de nouveaux sites polluants. C’est parti.

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May 21, 2020 at 11:31:53 AM GMT+2

♥ Pandémie — Huit thèses sur le Covid 19http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article52343

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par Daniel Tanuro — L'AUTRE QUOTIDIEN

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March 12, 2020 at 12:33:17 AM GMT+1

« Face à la crise écologique, la rébellion est nécessaire »https://rebellionscientifiques.wordpress.com/

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Appel de 1000 scientifiques

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February 21, 2020 at 11:52:04 AM GMT+1

Ecologie-Débat. Karl Marx: communiste, révolutionnaire… écologiste?https://alencontre.org/ecologie/ecologie-debat-karl-marx-communiste-revolutionnaire-ecologiste.html

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A l'encontre

Entretien avec Kohei Saito

K. Saito est l' auteur de "Karl Marx's Ecosocialism - Capital, nature and the unfinished critique of poitical economy" conduit par l’animateur du site Climate&Capitalism Ian Angus

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July 19, 2019 at 10:22:08 AM GMT+2

Qu’est-ce que l’« écosocialisme » ? – CONTRETEMPShttp://www.contretemps.eu/quest-ce-que-l-ecosocialisme/

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Fabrice Flipo - 17 janvier 2012

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March 16, 2019 at 10:25:18 AM GMT+1

Le capitalisme ne sera jamais vert, ITW de Daniel Tanurohttps://grozeille.co/le-capitalisme-ne-sera-jamais-vert/

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Grozeille

Daniel Tanuro est ingénieur agronome et environnementaliste, auteur de "L’impossible capitalisme vert".

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March 4, 2019 at 6:16:57 PM GMT+1
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