Pour la première fois sous la présidence Trump, Washington intervient militairement « à la demande des autorités nigérianes » dans ce pays d’Afrique de l’Ouest, accusé par la Maison Blanche de tolérer les massacres de chrétiens.
Parmi les personnes relâchées, jeudi, figurent des opposants emblématiques, mais la plupart restent sous contrôle judiciaire strict, illustrant la persistance des tensions politiques au Venezuela.