Manifestation transféministe contre les violences patriarcales, sociales et coloniales
Voici l'appel à manifester de l'Assemblée Générale féministe de Grenoble :
"Le 25 novembre c'est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. C'est une journée importante pour rappeler la réalité des violences patriarcales. 140 femmes ou filles sont tuées tous les jours en moyenne dans le monde par un membre de leur famille. En France, plus de 3 femmes par jour sont victimes de féminicide (ou tentative) par leur conjoint ou ex-conjoint. En 2024, on compte (...)
Texte de présentation de la Maramut
Mutualiser du matériel de lutte à Grenoble et au-delà
- Infos Locales / Manchette, Anti racisme / Antifacisme, Féminismes / Genres / Sexualités, Anti capitalisme, Autogestion, Partage de savoirsAssemblée Générale Antispéciste de Grenoble
On se retrouve pour notre AG mensuelle, comme tous les troisièmes dimanche du mois, ce 16 novembre, au Local autogéré (7 Rue Pierre Dupont à Grenoble).
16h30 : Temps d'accueil 17h : Début de l'assemblée générale > Pourquoi une AG antispéciste ? Parce que chaque jour les animaux non-humains sont exploité·es systématiquement au bénéfice des humain.es. On croit à la libération animale, parce que tous les animaux, nous inclus.e.s, sommes des individu.e.s avec égal intérêt de vivre. Parce que (...)
Une réponse aux anarchistes non véganes
Traduction d'une brochure parlant du véganisme d'un point de vue anarchiste
- Analyses / Anti capitalisme, AntispécismeLettre aux écolos et aux anarchistes
Traduction d'une brochure traitant de convergence des luttes
- Analyses / Anti capitalisme, Écologie / Anti-nucléaire, AntispécismeLa nuit sera longue / une émission de Minuit Décousu
« C'est une histoire de nazis, de taule et de responsabilité. » Long format radiophonique sur la lente montée du fascisme, la chasse aux antifascistes en Hongrie et à travers l'Europe, avec des collages d'archives et des bouts d'adaptation de la BD éponyme de Zerocalcare.
- Analyses / Répression / Justice / Prison, Sur les ondesPolitiser l'enfance / une émission de Minuit Décousu
Face à la militarisation de la jeunesse et au SNU, aux volontés de s'attaquer aux mineur-es trans et aux bloqueurs de puberté, aux dynamiques néo-coloniales et racistes sur les enfants des quartiers pop', à la fin de l'inclusion scolaire et aux enfermements divers et variés, on propose cette semaine 1h de fanzine radiophonique autour de l'enfance.
- Analyses / Féminismes / Genres / Sexualités, Répression / Justice / Prison, Sur les ondes, Anti validismeGroupe de parole : santé mentale au travail
Groupe de parole s'adressant à toustes autour de la thématique de la santé mentale au travail
- Infos Locales / Une, Travail / PrécaritéRéunion collectif TransInter le 12 novembre
Ce mois-ci, l'AG du collectif est le 12 et non le 11 comme habituellement.
- Infos Locales / Une, Féminismes / Genres / Sexualités, Partage de savoirsProjection-débat "Silent Fallout" (Retombées silencieuses)
"Silent Fallout" est un film réalisé en 2023 par Hideaki Ito sur les conséquences sanitaires des essais nucléaires. Débat avec Kurumi Sugita et Sonia Marmottant de l'association Nos Voisins 3.11.
- Infos Locales / Écologie / Anti-nucléaire, Soin / Santé / Santé mentale04.07.2025 à 16:27
Chantier au frais sous la canicule
22.06.2025 à 16:16
18.06.2025 à 16:59
Fête de la musique devant le 38!
02.06.2025 à 22:25
Soirée festive/tombola le 5 juin à la bobine!
13.04.2025 à 22:34
06.02.2025 à 14:57
Euroteuf le 15 février et photos
27.01.2025 à 23:01
27.01.2025 à 22:56
soirée de soutien pop à l’insolente de chambéry le 31 janvier
07.01.2025 à 18:03
Publié le 13.11.2025 à 10:01
Projection-Discussion. "L'Histoire des Gilets Jaunes par nous"
Quand ?
Le 16 novembre de 14h à 17h
Où ?
AERI 57 Rue Étienne Marcel 93100 Montreuil
Dans un contexte ou se pose la question de comment intervenir, il nous semble intéressant de projeter des films qui abordent ces questions. Nous voulons faire vivre la mémoire et participer à la transmission des pratiques de lutte.
Pour cela, nous proposons la diffusion de 2 films racontant les mouvements qui ont ébranlé la France en 2019 (L'histoire des Gilets Jaunes par nous) et en 2023 (Révolution 2023). Les films sont disponibles en accès libre aux adresses suivantes : 1 et 2.
Le film L'histoire des Gilets Jaunes par nous montre le mouvement des GJ de l'intérieur. Un mouvement qui s'est érigé en force révolutionnaire avec des pratiques offensives, des manière de s'organiser horizontales et sans leader, des occupations de l'espace public (ronds points, maisons du peuple...). Face à ça, État, syndicats, partis, figures autoproclamées ont détruit le mouvement en le divisant, le réprimant ou le pacifiant.
o Comment se défendre de ces acteurs contre révolutionnaire ?
o Face à une répression toujours plus militarisée, quelles pratiques de solidarité ou de défense collective pour faire face à la justice, la prison, la police... ?
o Comment créer des espaces accessibles pour formuler ces enjeux avant ou pendant un mouvement ?
Retrouvons nous dimanche 16 novembre à 14h à l'Aeri pour visionner et discuter de ce film qui se veut collaboratif : nos échanges et nos critiques partiperont à construire ces récits de lutte !
Publié le 31.10.2025 à 16:17
Permanence du C.A.T - Collectif Anti Travail
Quand ?
Le 2 novembre de 14h30 à 16h30
Où ?
Les Fleurs arctiques 45, rue du Pré Saint-Gervais, 75019, Paris
RENDONS-NOUS INEMPLOYABLES !
Pas d'entourloupe possible : malgré et contre toutes les utopies sociales-démocrates, tous les discours des partis de gauche et des syndicats, nous ne pensons pas qu'il puisse exister la moindre émancipation dans le travail, ni dans un quelconque mythique "plein emploi". Travailler, c'est sans cesse soumettre de son temps, de sa force et de sa vie à une forme aliénante, que l'on travaille pour une grande firme, pour un petit patron local ou à son propre compte, en intérim, pour une assoc' ou en insertion.
C'est aussi au prix de cette aliénation obligatoire que nous obtenons du chômage, du RSA, de l'AAH, en pointant à Pôle Emploi, en donnant peut-être bientôt 15 heures de notre temps, en vivant toujours sous cette même menace de devoir montrer à chaque instant qu'on peut faire des efforts et qu'on est, quoi qu'il en soit, disponible aux besoins de l'économie. Nous y sommes pourtant bien obligé.es, puisqu'il faut de l'argent pour vivre dans une société capitaliste et que les quelques centaines d'euros grappillés à l'État-providence déjà mort sont de plus en plus pénibles à obtenir.
Mais ne nous leurrons pas là-dessus : le travail-passion, le travail-vertueux, le travail-inclusif, le travail-addiction, c'est de la merde, rien que de la morale pour justifier et perpétuer les entraves à toute liberté ! Nous pensons qu'il est temps d'amplifier cette lutte, que nous menons tous déjà au quotidien, pour se dégager des chaînons du travail et que cela ne va pas sans mettre des bâtons dans les roues de la doctrine travailliste que France Travail, l'Éducation Nationale, les palais de justice et leurs prisons, les employeurs et agences d'intérim nous inculquent quotidiennement en s'aidant des peines et difficultés encourues par l'absence de revenus, et que parfois nos parents, nos enfants, nos collègues, nos amis et nos dits camarades sollicitent pareillement, par peur d'une vie oisive, marginale et non productive.
Tous les boulots sont des Travaux d'Intérêt Général !
Le contexte actuel va nous atomiser toujours plus, nous concasser en dos cassés et en cervelles bouillies si nous ne cherchons pas à nous organiser contre l'intensification de la mise au travail. Les réformes actuelles de l'assurance-chômage et de l'obtention du RSA à la suite de la création de France Travail cherchent à obliger tout non-travailleur à prouver sans cesse qu'il ou elle travaille à la sueur de son front à se rendre employable ; les Jeux Olympiques sont pourvoyeurs de larges chantiers aux conditions de travail horribles, alimentant le taux de deux morts au travail par jour en France ; les lycéens sont en première ligne de l'usage punitif du travail, que Gabriel Attal souhaite renforcer ; l'idéologie travailliste est un des moyens d'organiser le tri moral des sans-papiers (un bon immigré est un immigré qui travaille), et ce tri par le travail concerne tout le monde, comme on a pu le voir pendant la pandémie du covid ; les handicapés et les vieux doivent montrer qu'ils veulent à tout prix un travail qui leur serait soi-disant adapté. Les syndicats ne sont pas en reste, eux qui parlent des chômeurs comme de "travailleurs privés d'emploi", renforçant par là le chantage à l'insertion professionnelle dans la grande idéologie de l'inclusivité par le travail.
Envie de chercher comment mettre des grains de sable dans cette machine qui se veut si bien huilée, et foutre en l'air cette vie de labeur ? LE CAT, Collectif Anti Travail, bien félin et férocement oisif, cherche à faire de sa sieste un moment d'organisation pour refuser le travail. Des permanences ont lieu un dimanche sur deux à 14h30 au 45, rue du Pré-Saint-Gervais (M° Place des Fêtes).
Ce sera l'occasion de réfléchir à des manières d'agiter ce champ de lutte, de chatbarder les officines du travaillisme et de réagir collectivement aux situations précaires de chacun.e. Gare à ceux qui tentent de domestiquer les chats noirs, il paraît que ça porte malheur...
Contact : tousincompetents @ proton.me
Publié le 31.10.2025 à 11:11
Projection - discussion. « Une seule façon de faire la guerre, la sale »
Quand ?
Le 16 novembre à 16h
Où ?
Librairie Publico 145 Rue Amelot 75011 Paris
À l'invitation du Groupe libertaire d'Ivry, projection du film « Le pont » de Bernhard Wicki (1959, 1h37, VF), suivie d'une discussion.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, pendant la débâcle de l'armée allemande, des lycéens enrôlés dans la milice populaire sont livrés à eux-mêmes dans une mission absurde (garder un pont qui doit être détruit le lendemain). Le groupe d'adolescents est enthousiaste à l'idée de servir leur patrie et de devenir des héros...
Ce film est tiré d'une histoire vraie. L'un des adolescents envoyés au front décide de déserter, sous les moqueries de ses camarades. C'est lui qui racontera leur histoire (anonymement, par crainte de représailles).
Aucune armée ne peut admettre la désertion, forcément contraire à sa logique de discipline et de soumission. Évidemment, le « délit » est encore plus grave en temps de guerre. Encore aujourd'hui en France, la désertion face à l'ennemi est punie de peines de prison de vingt ans à perpétuité. Il est également interdit d'inciter à la désertion et de cacher des déserteurs.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, 20 000 militaires allemands ont été exécutés pour désertion par les tribunaux militaires. En 1997, le parlement allemand revient sur les condamnations prononcées par les tribunaux de la Wehrmacht à l'encontre des déserteurs et des objecteurs de conscience. En 2009, le parlement réhabilite quelque 30 000 « traîtres à la patrie en temps de guerre ».
On compte environ 450 000 désertions dans l'armée rouge de juin à décembre 1941. Les commissaires politiques avaient ordre de tirer à vue sur tout soldat rebelle ou déserteur.
Librairie du Monde Libertaire (Publico)
145, rue Amelot
75011 Paris
Métro Oberkampf / République / Filles du Calvaire
Dimanche 16 novembre 2025 à partir de 16 h
Entrée libre (accueil dès 15 h)
Publié le 17.09.2025 à 18:16
Groupe de lecture des Fleurs arctiques
Quand ?
Le 21 septembre à 16h30
Où ?
Les Fleurs arctiques 45, rue du Pré Saint-Gervais, 75019, Paris
Lire des textes ensemble, vraiment ?
Pourquoi ?
La lecture se définit la plupart du temps comme une activité solitaire et silencieuse. Lire des textes ensemble, c'est ouvrir la possibilité d'un autre rapport aux écrits, qui puisse permettre de les comprendre de manière peut-être plus riche et imprévisible, de mettre à profit autour des textes le regard et l'expérience des participants ; faut-il préciser que la seule exigence est l'intérêt de chacun pour y participer, avec son rapport à la lecture, plus ou moins simple ou compliqué, plus ou moins régulier ou exceptionnel ? On n'est même pas strictement obligé de tous lire : c'est aussi une façon de réfléchir ensemble en invitant d'autres manière de voir les choses et le monde, le plus souvent inactuelles, que l'écrit rend accessibles.
Aussi ne s'agira-t-il pas de sacraliser les textes lus en commun et ce ne sont pas des réponses gravées dans l'airain qu'on y cherchera. Il s'agira plutôt d'essayer de mettre les textes au travail aujourd'hui en fonction de nos enjeux et perspectives actuelles. D'ailleurs on ne choisira pas forcément des textes qu'on admire et qu'on lirait comme d'autres lisent la Bible. Il nous arrivera souvent au contraire d'aiguiser notre esprit critique commun autour de productions d'intérêts variés, parfois contestables. On pourra aussi s'écarter des chemins balisés de la « théorie politique » ou de l'histoire pour aller piocher dans des régions moins évidemment liées à notre objet, et si on lira sans doute les productions de quelques vieux barbus, on ne s'interdira pas de préférer parfois l'actualité, la fiction ou la poésie aux classiques et à l'argumentation raisonnée. L'objectif étant toujours d'ouvrir la réflexion et de faire circuler la pensée et la théorie hors des musées et des cercles savants de l'université où les ennemis de la praxis s'acharnent à les emmurer.
Comment ?
On propose un rendez-vous régulier le dimanche à 16h30, qui peut éventuellement s'étendre dans le temps. Des propositions précises et suivies dans la durée pourront se mettre en place, mais on pourra aussi papillonner à l'occasion dans la bibliothèque ou autour de textes proposés pour l'occasion : il ne s'agit pas de se donner des devoirs du soir ni de produire des thèses spécialisées sur les grands auteurs du programme révolutionnaire. Si on propose sur ce site des idées ou quelque chose qui ressemble à un programme, ce sera toujours sous une forme indicative, à rediscuter avec les participants du jour ou du moment.
Toutes les formes de lectures communes sont possibles, à expérimenter et choisir en fonction des textes. On pourra lire ensemble un court texte à haute voix et en parler, on pourra aussi se répartir différents textes et en discuter la fois suivante, ou alors fonctionner avec quelques extraits que l'un d'entre nous aura sélectionnés...
Alors ?
Bienvenue aux dilettantes comme aux assidus, aux érudits comme aux rêveurs, aux lecteurs passionnés comme à ceux que se retrouver seul avec un texte rebute, retrouvons-nous les dimanche à partir de 16h30.
Publié le 30.10.2025 à 16:24
Quand ?
Le 16 novembre de 17h à 22h
Où ?
CICP - Centre International de Culture Populaire 21 ter, rue Voltaire, 75011, Paris, France
Un hommage du Collectif Contre Culture à « Klee Benally »
À notre ami et camarade,
Klee Benally, activiste, anarchiste, écrivain, musicien, diné navajo, est parti rejoindre les ancêtres en décembre 2023. Il a joué souvent pour le Collectif Contre Culture au CICP mais aussi dans toutes sortes de lieux de solidarités a travers la France et l'Europe.
– 17h30 : Projection - présentation du livre de Klee, publié juste avant son décès « No Spiritual Surrender, anarchie indigène en défense du sacré » (traduit en français) et projection d'une interview réalisée en 2019 par SUBMEDIA (36 minutes, sous-titré en français)
Infos, tables de presse et musiques avec :
– Doum Doum Lovers (duo mixte rock Périgueux)
– Temple Drake (Paris - garage rock mixte)
– Mister Sunday Rain (country folk solo)
Collectif Contre Culture
Centre International de Culture Populaire
21 ter, rue Voltaire
75011 Paris
Métro : Alexandre Dumas - « Avron »
Prix libre - pas d'attitudes ou propos racistes, sexistes ou discriminatoires
Pas de verre et laissez les animals tranquillous à la maison ou à des aminches
Publié le 11.05.2025 à 22:47
Ateliers d'artivisme - « art activiste »
Quand ?
Le 18 mai de 19h à 23h
Où ?
La BAM - Bibliothèque Associative de Malakoff 14 Impasse Carnot, 92240, Malakoff, France
Appel à créativité ! Les ateliers d'artivisme se tiennent chaque mois à la BAM, la Bibliothèque Associative de Malakoff, deux dimanches par mois de 19h à 23h.
Pas obligé d'être artiste ou graphiste, ni d'avoir du matos artistico-politique compliqué, il suffit de vouloir militer concrètement.
Partage de casse-croûte, d'expériences et de nouvelles techniques, en se faisant plaisir et dans la "bonumeur".
C'est à deux pas du métro Malakoff-Etienne Dolet (ligne 13), au 14, impasse Carnot, interphone BAM
Plus de détails sur les accès par bus, noctilien, train, jet privé sont sur le site de la BAM
Venez avec un truc à boire, à manger ou à imaginer pour découvrir agréablement ce lieu bien sympa.