Publié le 28.11.2025 à 08:33
Vingt-quatre heures après ses annonces sur le service militaire volontaire, Emmanuel Macron rencontre ce vendredi matin à Mirecourt (Vosges), près d'Épinal, une quinzaine de lecteurs des journaux du groupe EBRA, dont fait partie votre journal.
Le président de la République sera interrogé par ce panel sur le thème “La démocratie à l’épreuve des réseaux sociaux et des algorithmes” à travers quatre axes majeurs : lutter contre le cyberharcèlement, protéger les plus jeunes des réseaux sociaux, un focus sur la désinformation et les ingérences étrangères, et enfin un éclairage sur l'éducation aux médias pour tous.
Suivez avec nous ce ''Face aux lecteurs'' en direct :
09:25
Tous les invités sont fouillés à l'entrée de l'espace Flambeau de Mirecourt pour pouvoir accéder à la salle qui accueille le débat.
08:53
Prof de vente, Inès Ngono, 39 ans, va poser une question au président de la République ce vendredi. Une prise de parole symbolique pour cette enseignante de Vaulx-en-Velin (Rhône), qui forme chaque semaine une cinquantaine de jeunes, du CAP à la terminale, et qui côtoie donc chaque jour une jeunesse façonnée par TikTok et les écrans.
08:42
Médecin installé à Épinal, dans les Vosges, Benoît Leroy, 42 ans, père de trois enfants et sa compagne, maman de deux enfants, ont récemment été confrontés à des faits de cyberharcèlement qui ont, indirectement, touché l’une des filles de la famille, collégienne âgée de 12 ans. « Je suis inquiet de l’avenir pour notre jeunesse qui est exposée à cette problématique sans en avoir les codes » explique-t-il. Il va pouvoir en discuter avec le chef de l'Etat ce vendredi.
08:28
Emmanuel Macron arrivera ce vendredi matin dans les Vosges par la voie des airs. À l'aéroport Mirecourt-Epinal, on est dimensionné pour faire atterrir et décoller un A320. Autant dire qu’on n’est pas inquiet de devoir gérer un des Falcon de la flotte présidentielle...
08:20
« Il faisait des montages photos avec mon visage, puis des vidéos » : Anna Baracetti, 36 ans, professeur de langues dans un lycée à Grenoble, sera face à Emmanuel Macron, ce vendredi. Harcelée par un collègue professeur d'histoire-géographie durant un an, elle va raconter l'horreur qu'elle a vécue.
08:04
« J’en souffre encore aujourd’hui » : Mattéo Jacques, 22 ans, a été victime de harcèlement scolaire au collège et au lycée. Alors qu’il avait tenté de mettre fin à ses jours à deux reprises, le Vosgien s’épanouit désormais en travaillant pour le parc d’attractions Europa-Park en Allemagne. Il milite depuis pour combattre le cyberharcèlement et va demander au président de la République la mise en place de mesures fortes.
07:53
Le harcèlement scolaire et le cyberharcèlement touchent aujourd'hui 37% des jeunes de 6 à 18 ans, soit près de deux élèves sur cinq, selon les derniers chiffres publiés par l'Ifop le 5 novembre dernier, pour l’association Marion la main tendue. Alors qu’Emmanuel Macron rencontrera ce vendredi nos lecteurs dans les Vosges pour évoquer notamment ces problématiques, les données régionales montrent de fortes disparités.
Dans la région Grand Est, 21% des collégiens et lycéens se disent harcelés, soit le pourcentage le plus élevé de France avec la Normandie. WhatsApp est devenu un terrain privilégié pour les harceleurs : 41 % des cas y sont recensés, souvent au sein même des groupes de classe (25 %), prolongeant ainsi les tensions scolaires sur les réseaux sociaux.
07:49
Habitant à Saint-Dié-des-Vosges, Gianina Pesca, 38 ans, s'interroge sur les fake news et autres créations par IA qui influencent les usagers d'internet et des réseaux sociaux, surtout lors des campagnes électorales. Franco-Roumaine, cette maman de deux filles, directrice d’une agence de communication, va évoquer le premier tour de l’élection présidentielle roumaine qui a été invalidé en novembre 2024 après une enquête qui a mis en lumière les dérives des réseaux sociaux. La France pourrait-elle connaître un tel dysfonctionnement lors d’élections locales comme les municipales ?
07:39
Lors d'un échange de deux heures avec les lecteurs, Emmanuel Macron sera confronté aux témoignages de victimes d’usurpation ou de cyberharcèlement, aux récits de Françaises et de Français inquiets face à la dégradation des contenus qui font de plus en plus de ravages chez les jeunes utilisateurs malgré l’attention croissante portée à l’éducation aux médias.
07:27
Ana Vincenot, 82 ans, vit à Remiremont dans les Vosges. En avril dernier, cette enseignante à la retraite avait participé à un atelier sur les fake news, qui lui avait fait prendre conscience de l’ampleur du phénomène. Ce vendredi, elle va pouvoir interroger Emmanuel Macron lors de notre rendez-vous face à nos lecteurs.
07:14
Les algorithmes des réseaux sociaux favorisent les comportements addictifs, parfois risqués, notamment des adolescents. Un mécanisme identifié et exploité par les plateformes, contre lequel les autorités tentent de lutter.
07:09
C’est à l’espace Flambeau à Mirecourt, totalement remodelé pour la venue du président de la République, qu'Emmanuel Macron, est attendu ce vendredi pour une rencontre avec les lecteurs de neuf journaux du groupe EBRA. En coulisses, tout le monde s’est activé pour être prêt le jour J.
07:05
Accusés de menacer la santé mentale des jeunes et la stabilité démocratique, les réseaux sociaux poussent les gouvernements, dont la France, à envisager leur interdiction aux mineurs. Cette réponse divise les experts, qui en pointent les limites techniques et les potentiels effets pervers. Emmanuel Macron sera interrogé sur la question ce vendredi.
07:00
Bonjour et bienvenue dans ce direct consacré aux débats entre Emmanuel Macron et notre panel de lecteurs.
Publié le 28.11.2025 à 06:00

On n’en est pas encore à ouvrir les livres d’histoire, ni à solliciter les anciens du village pour qu’ils relatent leurs plus anciens souvenirs. Mais tout de...
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Publié le 28.11.2025 à 06:53

Une des deux membres de la Garde nationale attaqués mercredi à Washington par un suspect afghan est décédée, a annoncé ce jeudi Donald Trump, qui veut répondre à cette attaque en mettant fin à « l'immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde ».
La soldate, Sarah Beckstrom, « vient de nous quitter. Elle n'est plus parmi nous », a expliqué le président américain lors d'une allocution télévisée, au lendemain de cette attaque commise selon les autorités par un Afghan de 29 ans, arrivé aux États-Unis en 2021 après avoir servi aux côtés de l'armée américaine en Afghanistan. L'autre soldat qui s'est fait tirer dessus « lutte pour sa vie » et est toujours « dans un état très grave », a précisé Donald Trump.
Dès mercredi soir, le milliardaire républicain avait réagi en annonçant un durcissement de sa politique anti-immigration, « pour assurer l'expulsion de tout étranger de quelque pays que ce soit qui n'a pas sa place ici ou qui n'apporte aucun avantage à notre pays ».
En conséquence, le directeur des services d'immigration (USCIS), Joseph Edlow, a annoncé jeudi avoir « ordonné un réexamen complet et rigoureux de chaque carte verte délivrée à tout ressortissant étranger provenant de pays jugés préoccupants ». Ce permis accordant le titre de résident permanent aux États-Unis sera réexaminé pour les immigrés originaires d'Afghanistan, mais aussi de 18 autres pays incluant notamment le Venezuela, Haïti et l'Iran.
Le suspect, Rahmanullah Lakanwal, a traversé le pays en voiture depuis l'État de Washington, dans le nord-ouest du pays, pour se rendre dans la capitale fédérale, sur la côte est, selon la procureure de Washington, Jeanine Pirro. Là, il a mené une attaque « ciblée » contre des militaires de la Garde nationale, ouvrant le feu sur deux d'entre eux, âgés d'une vingtaine d'années, avec un revolver Smith & Wesson, « sans provocation, comme dans une embuscade ». Le suspect a été neutralisé par d'autres gardes nationaux.
Ces derniers mois, Donald Trump a fait polémique en envoyant des membres de ce corps de réserve de l'armée dans plusieurs villes démocrates, contre l'avis des autorités locales, disant ces renforts nécessaires pour lutter contre la criminalité et l'immigration illégale.
Le tireur était toujours hospitalisé jeudi sous haute surveillance. La procureure a indiqué qu'il ferait face à trois chefs d'agression armée avec intention de tuer. Son mobile reste inconnu. Selon le directeur de la CIA, John Ratcliffe, il avait travaillé avec l'armée américaine en Afghanistan avant d'être exfiltré vers les États-Unis. « Nous enquêtons pleinement sur cet aspect de son passé », a déclaré le directeur du FBI, Kash Patel, lors d'une conférence de presse.
La police fédérale a lancé une enquête internationale pour terrorisme et se penche également sur d'« éventuels complices » dans le pays ou à l'étranger, a-t-il indiqué. Il a ajouté que les autorités menaient des perquisitions en lien avec l'enquête, y compris au domicile du suspect, dans l'État de Washington.
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