LePartisan.info À propos Bastille Podcasts Fil web
Médias
TOUTES LES SOURCES  
flux grenoblois

Dauphiné Libéré


Publié le 20.10.2025 à 12:52

Paris. Vol au Louvre : Laurent Nuñez demande de renforcer la sécurité aux abords des musées

Après le spectaculaire cambriolage dimanche matin au Louvre, quasiment au nez et à la barbe des agents de la sécurité, une soixantaine d'enquêteurs sont en alerte afin de mettre la main sur les quatre malfaiteurs culottés partis en scooter avec huit « joyaux de la couronne de France »

Diadème, boucles d'oreilles, colliers... Huit bijoux ont été dérobés dans la galerie d'Apollon, qui abrite la collection royale de pierres précieuses et les diamants de la couronne. Deux bijoux ont été retrouvés, abandonnés par les malfrats : la couronne de l'impératrice Eugénie, retrouvée à proximité du musée parisien, endommagée, et un deuxième bijou, retrouvé dans la salle où a eu lieu l'effraction.

Suivez avec nous ce direct :

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct.

  • 12:51

    Le Louvre reçoit chaque jour deux fois plus de visiteurs qu’il ne peut en supporter

    Au mois de juin, les salariés du Louvre se mettaient spontanément en grève pour protester contre leurs conditions de travail et du manque de sécurité. En plus des projets ne rénovation qui n'aboutissent pas, le musée reçoit chaque jour deux fois plus de visiteurs qu’il ne peut en supporter théoriquement, rappellent nos confrères de Libération

  • 12:35

    Laurent Nuñez demande de renforcer la sécurité autour des musées

    Une réunion s'est tenue ce lundi autour du ministre de l’Intérieur, Laurent Nuñez, et de la ministre de la Culture, Rachida dati, pour identifier ce qui a fonctionné et qui a dysfonctionné dans le dispositif de sécurité mis en place au Louvre. 

    Il a par ailleurs été acté par les deux ministres qu’une instruction soit envoyée aux préfets pour organiser sans délai un point sur l’existence des dispositifs déjà déployés autour des établissements culturels

    Il a en outre demandé de renforcer les mesures de sécurité autour des musées le cas échéant.

  • 12:29

    Cinq grands musées eux aussi victimes de cambriolages dans le monde

    Montréal, Vienne, Dresde, Oslo, Boston... Avant le Louvre, d'autres grands musées dans le monde ont été victimes de cambriolages majeurs ces dernières décennies.

    > Lire notre article complet ici.

  • 12:13

    En 2010, l'« homme-araignée » commettait un vol au MAD de Paris

    Le 20 mai 2010, cinq merveilles de Picasso, Matisse, Braque, Modigliani et Léger, d'une valeur estimée à plus de 100 millions d'euros, disparaissent du musée d'art moderne (MAD) de la Ville de Paris. Le voleur a profité d'une incroyable défaillance des systèmes de sécurité du musée, où les détecteurs de mouvement étaient en panne depuis deux mois. Aucune des oeuvres ne sera retrouvée. Arrêté en mai 2011, Vjéran Tomic, 49 ans, surnommé l'« homme-araignée », sera condamné à huit ans de prison en 2017. Il ne donnera jamais le nom de ses commanditaires.

  • 12:05

    En 1911, La Joconde était volée au Louvre

    Le Louvre avait déjà été le théâtre d'un spectaculaire cambriolage le 21 août 1911, lorsque son oeuvre la plus célèbre, La Joconde de Léonard de Vinci, est volée.

    Le coupable était un vitrier italien qui avait participé aux travaux de mise sous verre de tableaux du musée. Il conservera pendant deux ans le portrait dans son logement parisien, avant de tenter de le revendre à un antiquaire florentin qui donnera l'alerte. Vincenzo Perugia, qui affirmera avoir agi par patriotisme, sera jugé en Italie et condamné à sept mois de prison.

    > Lire notre article complet ici. 

  • 11:31

    Pourquoi les œuvres des musées publics ne sont pas assurées ?

    Les œuvres d'art dans les musées publics, comme le Louvre, ne sont pas assurées - sauf en cas de prêt ou déplacement, a contrario de celles exposées dans les institutions privées : en cas de déprédation, destruction ou vol, l'État est son propre assureur et n'est pas dédommagé.

    > Lire notre article complet ici. 

  • 11:19

    Pour Stéphane Bern, « on vient de voler les bijoux de famille des Français »

    « C'est un traumatisme réel, parce qu'on s'est attaqué à une forteresse qu'on croyait imprenable, celle qui représente le patrimoine. Mais vous savez, c'est comme pour Notre-Dame de Paris. Et après, quand l'incendie se produit, on dit que c'est trop tard », a déploré Stéphane Bern dimanche au micro de France info. 

    Le spécialiste des têtes couronnées a également pris la parole sur BFMTV : « Tous les Français qui se font cambrioler et voler les bijoux de leur grand-mère, de leur famille, auxquels ils sont viscéralement attachés, beaucoup plus qu'à la télévision ou aux appareils photos, et bien c'est ce qu'il vient de se passer : on vient de voler les bijoux de famille des Français ».

  • 10:09

    Le Louvre n'ouvre finalement pas ce lundi après le vol des bijoux

    Le Louvre n'ouvre finalement pas ce lundi après le vol des bijoux. « Après le vol qu’a subi le Louvre hier, le musée a le regret de vous informer qu’il restera fermé au public ce jour. Les visiteurs ayant déjà réservé leurs billets seront remboursés automatiquement » peut-on lire sur le site internet. 

    Capture d'écran
    Capture d'écran
  • 09:39

    Un rapport de la Cour des comptes pointe des « retards » dans la sécurité

    Selon un rapport de la Cour des comptes qui doit être publié début novembre, et que nos confrères de Franceinfo s'est procuré, des retards « considérables » dans la mise aux normes des installations techniques du musée le plus visité au monde.

    La cour, qui s'est penchée sur la période comprise entre 2019 et 2024, parle d'un « retard persistant » dans ce domaine.

    Le déploiement de nouveaux équipements de surveillance s'est concentré « sur un certain nombre de salles, notamment les espaces d'expositions temporaires du hall Napoléon (+150%), ce qui explique que le taux de couverture total des salles n'ait augmenté que de 15% », pointe le rapport.

    « Et ce alors que 60% des salles de l'aile Sully et 75% pour l'aile Richelieu ne sont pas protégées par des dispositifs de vidéo-surveillance », est-il précisé.

    La cour estime par ailleurs que « sous l'effet d'une fréquentation croissante, le cycle d'obsolescence des équipements techniques du musée s'est accéléré de façon nettement plus importante que le rythme des investissements engagés par l'établissement pour y remédier ».

  • 09:21

    Les vols se multiplient dans les musées

    Le phénomène prend de l'ampleur. Il y a un mois, des voleurs s'étaient introduits de nuit au Muséum d'histoire naturelle à Paris pour emporter 6 kg de pépites d'or. En septembre encore, un musée de Limoges a subi un cambriolage pour un préjudice estimé à 6,5 millions d'euros. 

    > Lire notre article récapitulatif ici. 

  • 09:11

    Le musée du Louvre a rouvert ce lundi matin

    Le musée du Louvre a rouvert ce lundi matin, selon les journalistes sur place, au lendemain du « casse du siècle ». Il reçoit près de 9 millions de visiteurs par an et abrite 35 000 œuvres sur 73 000 m².

  • 08:32

    « Une image déplorable de la France », estime Gérald Darmanin

    Ce cambriolage spectaculaire relance le débat sur la sécurité des musées français, qui présentent « une grande vulnérabilité », a reconnu dimanche le ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez.

    « Ce qui est sûr, c'est que nous avons failli », a estimé ce lundi matin sur France inter le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, puisque des malfaiteurs ont été « capables de mettre un monte-charge » sur la voie publique, « de faire monter des gens en quelques minutes pour récupérer des bijoux inestimables et de donner une image déplorable de la France ».

    « Je pense que les Français ce matin ils ont tous un peu l'impression (...) d'avoir été cambriolés », a-t-il encore déclaré.

  • 08:29

    Quels sont les huit bijoux « inestimables » volés au Louvre ?

    Si le diadème de l’impératrice Eugénie et ses 2 000 diamants a été abandonné par les malfrats dans leur fuite, ainsi qu'un autre bijouretrouvé dans la salle de l'effraction, huit autres bijoux, qui datent tous du XIXe siècle, se sont volatilisés : le diadème de la parure de la reine Marie-Amélie et de la Reine Hortense, le collier de la parure de la reine Marie-Amélie et de la Reine Hortense, la boucle d’oreille de la parure de la reine Marie-Amélie et de la Reine Hortense, le collier en émeraudes de la parure de Marie-Louise, la paire de boucles d’oreilles en émeraudes de la parure de Marie-Louise, le grand nœud de corsage de l’impératrice Eugénie, composé de 2 438 diamants, et la broche "reliquaire", composée de 94 diamants. 

    > Retrouvez ici le détail des bijoux volés. 

  • 08:19

    Cambriolage spectaculaire au Louvre, huit bijoux emportés : ce que l'on sait

    Au lendemain du spectaculaire cambriolage dans le plus grand musée du monde, la police est aux trousses de quatre malfaiteurs partis avec huit « joyaux de la couronne de France ».

    > Retrouvez notre article qui résume les faits.

  • 07:56

    Des bijoux d'une valeur inestimable démontés et revendus ?

    Le vol a duré sept minutes. Elle est le fait de cambrioleurs « chevronnés » qui pourraient être « étrangers » et « éventuellement » connus pour des faits similaires, selon le ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez.

    Les pièces volées, d'une valeur inestimable, sont difficiles sinon impossibles à revendre en l'état. Dès lors, deux hypothèses, selon la procureure de la République de Paris, Laure Beccuau : les auteurs peuvent avoir agi « au bénéfice d'un commanditaire » amateur de pièces historiques ou avoir voulu obtenir « des pierres précieuses pour pratiquer des opérations de blanchiment » en les vendant une fois les bijoux démontés. 

  • 07:45

    Bonjour et bienvenue dans ce live consacré au cambriolage du Louvre.

Adblock test (Why?)

Publié le 20.10.2025 à 13:50

Justice. Meurtre de Lola : les premiers témoins vont être auditionnés

Le procès de Dahbia Benkired, qui s'est ouvert vendredi devant la cour d'assises de Paris, se poursuit ce lundi. L'accusée, âgée de 27 ans, est jugée pour avoir violé, torturé et tué Lola, 12 ans, le 14 octobre 2022 avant de transporter son corps dans une malle.

Lors du premier jour d'audience, vendredi, l'accusée avait pris pour la première fois la parole et exprimé des regrets« J’aimerais demander le pardon à toute la famille », avait notamment déclarée Dahbia Benkired.

Suivez la deuxième journée d'audience en direct :

Les temps forts

Retrouvez ci-dessous les informations essentielles de ce direct.

  • 12:32

    L'essentiel de cette deuxième matinée du procès

    La médecin légiste qui a examiné le corps de Lola a été entendue ce lundi matin. L'experte a fait état d'une « large plaie latérale » sur la gauche du cou et confirmé la mort de la fillette par asphyxie, dont le visage, nez et bouche compris, ont été obstrués par du scotch « enroulé avec tension ».

    De nouvelles images des blessures au dos de Lola ont également été diffusées, la médecin légiste ayant recensé 38 plaies sur cette partie du corps de la victime.

    Au moment où l'avocat de la défense a demandé à la médecin légiste de confirmer que le corps n'a pas été démembré, la mère de Lola s'est effondrée en larmes sur le banc des parties civiles, puis elle a quitté la salle. 

    Dahbia Benkired nie toujours les pénétrations relevées sur le corps de la fillette de 12 ans  : « ça c'est faux, je ne l'ai pas touchée », dit l'accusée. Ces pénétrations, elle les met sur le dos de l'homme chez qui elle est allée après le meurtre, à Asnières, avec la malle contenant le corps.

  • 12:20

    L'audience est suspendue

    L'audience est suspendue. Elle reprendra à 14 heures avec l'audition de premiers témoins.

  • 12:15

    L'accusée dans le hall de l'immeuble pendant près d'une heure

    Le président montre désormais des photos du hall d'entrée de l'immeuble avant l'arrivée de Lola. Ces images issues des caméras de vidéosurveillance révèlent que Dahbia Benkired a tourné en rond pendant près d'une heure, entre 14 heures et 15 heures, dans le hall du bâtiment.

    A 15h11, Lola est alors suivie par l'accusée aux abords de l'immeuble. À 16h48, Dahbia Benkired ressortira avec deux valises et une malle, avec à l'intérieur le corps sans vie de la victime.

  • 12:07

    « Lola n'avait pas l'air rassurée »

    Plusieurs témoignages sont maintenant lus par le président. Un premier d'un voisin, qui a croisé Lola Daviet et Dahbia Benkired le jour du crime. « Elle ne mettait pas à l'aise cette fille », a-t-il dit concernant l'accusée.

    Un autre témoignage d'une femme qui a aussi entendu Lola Daviet parler avec Dahbia Benkired, est présenté. « Lola vouvoyait cette personne. J'ai trouvé que la petite n'avait pas l'air de la connaître. Lola n'avait pas l'air rassurée. »

  • 11:55

    L'audience reprend

    Après une interruption, l'audience vient de reprendre. Une nouvelle photo de Lola Daviet est diffusée sur les écrans de la salle. Cette fois, elle est prise par une de ses amies à la sortie du collège.

    On y voit la fillette de 12 ans avec une copine et le visage joyeux. Le cliché a été pris quelques minutes avant que Lola ne croise le chemin de Dahbia Benkired. L'accusée ne réagit pas en visionnant la photo.

  • 11:44

    38 plaies sur le dos de la victime

    Au total, la médecin légiste a recensé 38 plaies dans le dos de Lola, 12 ans au moment des faits en 2022. Mais cela ne correspond pas forcément à un nombre similaire de coups dans la mesure où, avec des ciseaux, chaque impact peut créer plusieurs plaies.

  • 11:41

    Audience temporairement suspendue

    L'audience a été suspendue une quinzaine de minutes. La mère de Lola est revenue en salle d'audience mais elle n'a pas encore repris.

  • 11:33

    Dahbia Benkired nie toujours en bloc les pénétrations

    Les dépositions des deux experts s’achèvent. Invitée à s'exprimer à la suite de cette présentation, Dahbia Benkired se lève et dit d'abord n'avoir rien à dire. Mais questionnée par le président sur les constatations réalisées au niveau vaginal et anal, l'accusée de 27 ans conteste à nouveau toute agression sexuelle : « ça c'est faux, je ne l'ai pas touchée ».

    Elle reconnaît seulement avoir « touché ses seins » au moment de la douche, et de lui avoir imposé un cunnilingus. Ces pénétrations, elle les met sur le dos de l'homme chez qui elle est allée après le meurtre, à Asnières, avec la malle contenant le corps : « Je ne sais pas ce qui a pu se passer », dit la jeune femme. « Je ne l'ai pas fait. C'est la vérité, je n'ai rien fait. Si je l'aurais fait, je vous l'aurais dit. (sic) »

  • 11:20

    Un corps démembré ou non ? C'en est trop pour la mère de Lola

    Au moment où l'avocat de la défense demande à la médecin légiste de confirmer que le corps n'a pas été démembré, la mère de Lola s'effondre en larmes sur le banc des parties civiles.

    Face à ces nouveaux mots très difficiles à entendre, elle quitte la salle.

  • 11:13

    Une nouvelle photo du corps projetée, une partie de la famille quitte la salle

    Une nouvelle photo du dos et du cou de la victime est projetée à l'audience. On y distingue la large plaie au niveau de l'arrière du cou, mais également les multiples petites plaies évoquées sur le haut du dos, certaines en forme de point, d'autres de trait.

    La mère et le frère de Lola sont restés dans la salle au moment de la diffusion de cette photo, mais les autres proches de la fillette sont sortis de la salle d'audience. Une nouvelle image difficile à endurer pour les proches de la fillette de 12 ans.

  • 11:09

    Le thème de la souffrance maintenant abordé

    Un point essentiel pour la famille de Lola : a-t-elle souffert ? A cela, la médecin légiste répond en mettant en avant la peur que l'adolescente a dû ressentir : « Avant la perte de connaissance, l'asphyxie en soi est très angoissante. Le fait de ne plus pouvoir reprendre son air, c'est une angoisse particulière et intense. »

    « La détresse respiratoire est un mécanisme entraînant le décès qui est particulièrement anxiogène », poursuit la médecin légiste.

  • 11:06

    Les blessures au dos compatibles avec les ciseaux, pas avec un couteau à huîtres

    Les multiples plaies dorsales, visibles vendredi dans les photos de la découverte du corps de Lola projetées à l'audience, sont « compatibles avec de multiples coups portés avec des lames de ciseau », explique l'expert, qui écarte la piste du couteau à huîtres, dont la lame était « émoussée ».

  • 11:02

    Les éléments qui constituent des faits de viol relevés selon la médecin légiste

    Enfin, la médecin légiste confirme que les lésions hémorragiques au niveau génital laissent penser qu'elles ont été faites dans un laps de temps « d'environ trente minutes précédant le décès ». Un traumatisme a également été repéré au niveau anal. Ces pénétrations, qui ne sont pas les seuls éléments qui constituent des faits de viol dans le dossier, sont les seuls niés par l'accusée dans les faits qui lui sont reprochés.

  • 10:56

    Les constatations de la médecin légiste confirment les déclarations de l'accusée

    Selon la médecin légiste, les lésions hémorragiques relevées au niveau du cerveau sont « compatibles avec une perte de connaissance » qui aurait permis à Dahbia Benkired de ligoter Lola avec le scotch sans que l'adolescente puisse se débattre. 

    Par ailleurs, elle confirme que les blessures au niveau du visage et de la nuque sont « compatibles avec le couteau désigné par Dahbia Benkired, dont la lame fait 20 centimètres ».  

    Ces coups ont été portés du vivant de la victime, et non post-mortem.

  • 10:48

    La mort de la fillette par asphyxie est confirmée par les experts

    La médecin légiste, elle, confirme que la mort de la fillette par asphyxie est compatible avec le fait que son visage, nez et bouche compris, aient été obstrués par le scotch dont sa tête était enroulée, mais aussi son cou, « enroulé avec tension ».

    « L'action seule d'une obstruction des voies aériennes peut être à l'origine d'une asphyxie mécanique », expose la médecin légiste, qui précise la chronologie : « Une perte de connaissance, des convulsions, un arrêt respiratoire et un arrêt cardiaque en 2 ou 3 minutes ».

  • 10:37

    Des lésions au niveau génital constatées

    C'est au tour de l'expert anatomo-pathologique qui dépose avec la médecin légiste de prendre la parole. Il a examiné les prélèvements réalisés lors de l'autopsie de Lola et a relevé des « lésions hémorragiques récentes » au niveau génital, datant de « quelques minutes ou quelques heures avant le décès ».

  • 10:21

    Pas de fracture au niveau du crâne, mais un saignement constaté

    Selon l'experte, il n'y a pas de fracture au niveau du crâne de la victime mais l'autopsie a permis de révéler un « saignement à la surface du cerveau » qui pourrait s'expliquer par le choc que l'accusée avait dit avoir porté à Lola, quand elle l'obligeait à prendre une douche, en projetant sa tête contre le mur de la salle de bain.

  • 10:15

    Une blessure très profonde constatée sur le cou, deux dans le dos

    L'audition reprend. L'experte fait état de la « large plaie latérale » gauche constatée sur le cou de la victime, qui avait été relevée par les enquêteurs dès la découverte du corps de Lola. Cette blessure a atteint la 6e vertèbre, qui présentait une lésion osseuse, signe de la profondeur du coup. 

    L'examen a permis également de montrer la présence de deux plaies pénétrantes au niveau de la cage thoracique, venant de l'arrière. Ces plaies sont le résultat d'objets « piquants, coupants », précise la médecin légiste

  • 09:59

    La médecin légiste qui a examiné le corps de Lola auditionnée

    C'est la médecin légiste qui a examiné le corps qui est entendue actuellement en visioconférence. Lola mesurait alors 1,60m pour 55kg. La médecin légiste explique que le corps de la fillette présentait de multiples lésions traumatiques au niveau cervical et dorsal, principalement sur le côté gauche. Le scotch qui entourait son visage avait été retiré avant l'examen du corps.

    Le corps présentait également des manifestations asphyxiques comme des pétéchies, ces petites taches, signes d'hémorragie, qui apparaissent sur le visage. Au niveau génital, l'experte n'a relevé « aucune lésion traumatique visible ». Il n'y avait « pas de fracture ni lésion traumatique » au niveau du visage. La déposition de la médecin légiste est perturbée par des soucis de connexion.

  • 09:40

    L'accusée s'est installée dans le box

    Peu après 9h30, l'accusée s'est installée dans le box.

  • 09:00

    Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans notre direct consacré au procès de Dahbia Benkired, jugée pour le meurtre de Lola.

Adblock test (Why?)

Publié le 20.10.2025 à 08:26

Rhône. Quatre personnes décèdent dans l'incendie d'un immeuble à Lyon

 Un incendie s'est déclaré ce lundi vers 5 heures du matin dans un immeuble de dix étages, situé au 230 rue André-Philip, près du centre commercial de La Part-Dieu, dans le 3e arrondissement de Lyon, selon Le Progrès. À l'arrivée des secours, quatre personnes étaient en arrêt cardio-respiratoire et n'ont pu être réanimées.

L'incendie a été éteint aux alentours de 7 heures. Sur place, 78 sapeurs-pompiers et 34 engins ont été mobilisés, ainsi que quatre équipages du SAMU du Rhône.

>> Lire l'article du Progrès.

Adblock test (Why?)

 

Comment accéder gratuitement aux contenus du D.L via la NUMOTHEQUE GRENOBLE-ALPES ?

1. PRÉREQUIS
Un compte ouvert sur la Numothèque en ligne. La seule condition à remplir est d'être domicilié.e dans une commune de la Métro (la zone Grenoble Alpes Metropole).
2. RECHERCHE RAPIDE
Pour trouver un article datant de moins de 30 jours : Connexion à la Numothèque > Europresse > Dans le champ « 360° » entrez le titre exact de l'article.
3. RECHERCHE APPROFONDIE dans toutes les éditions :
CLIQUEZ ICI