La demande du général Fabien Mandon, chef d’état-major des armées, à « accepter de perdre ses enfants », n’a pas convaincu beaucoup d’élus. Pour autant, ces derniers ne nient pas le risque d’une guerre à venir et mettent en place d’autres moyens pour faire vivre le lien entre l’armée et la population.

Le taux de participation s’élève à 80,95 %, selon la direction générale des élections. Le scrutin devait initialement marquer le retour à un pouvoir civil, quatre ans après le coup d’Etat qui a porté le putschiste au pouvoir.

La victime est le conducteur de l’un des deux trains entrés en collision près de la célèbre citadelle inca.