La poétesse japonaise raconte les légumes de son amie maraîchère et la beauté de la relation qui les lie entre elles, mais aussi aux vers de terre et aux insectes de la ferme. Autour d’un simple aliment se rencontre une communauté invisible.

Qu’ils soient combattus, cajolés, exploités, ou symboles de la sauvagerie humaine, les animaux sont des acteurs à part entière de l’histoire humaine, plaident quatre historiens dans un volume riche en illustrations.

Définir la beauté est impossible, mais les humains ont un point commun : de tout temps, sur tous les continents, ils ont cherché à embellir leurs corps, comme le montre l’anthropologue dans «100 000 Ans de beauté», un titanesque ouvrage collectif qu’elle a coordonné.