À peu près tout a été dit sur « L'Espoir Malgré Tout », le Spirou en quatre volumes d'Émile Bravo, publié récemment par les éditions Dupuis en « intégrale », et initié par son « Journal d'un Ingénu » (2008), qui situait l'histoire en 1939. On pourrait ici décider de faire comme à l'école : lister citations et situations pour illustrer le talent de l'auteur et tout ce qui en fait une œuvre formidable d'humanité. Mais il serait beaucoup plus simple de se demander ce qu'il n'y a pas.

Perdues entre le Mozambique, les Comores et Madagascar, on appelle « îles Éparses » les petites possessions françaises du sud-ouest de l'océan Indien héritées de la colonisation : les Glorieuses, Juan de Nova, Europa, et Bassas da India — cette dernière parfois submergée à marée haute. Elles ne sont pas habitées en permanence, sinon par une mini-escouade de soldats et un gendarme ou un agent de Météo-France, relevés toutes les six semaines…

Comment expliquer l'inertie de la Ligue arabe et son incapacité à faire face à la guerre à Gaza, l'un des événements parmi les plus sanglants de l'histoire récente du Proche-Orient ?

La nouvelle édition de Passages Transfestival, à Metz, s'inscrit en partie dans la saison France-Brésil de l'Institut français en lien avec la Casa do Povo à Sao Paulo : spectacles, rencontres, installations, expositions, films, concerts, pour interroger les ravages de la mondialisation et remettre l'être humain au centre du vivant. Dans ce programme, on en découvre un autre. Celui de l'Institut français de Jérusalem…

S'inquiète-t-on donc vraiment dans le monde du livre de la diffusion des idéologies d'extrême droite dès lors qu'elle n'est pas tapageusement poussée par Vincent Bolloré ?