Sous la pression de ses soutiens d’extrême droite sans lesquels il perdrait sa majorité, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou multiplie les propos va-t-en guerre. Il a semblé, samedi, avoir enterré toute négociation pour un nouvel accord de trêve dans la bande de Gaza.

Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, répond dans cette tribune aux conclusions du « conclave » sur l’immigration accueilli par notre journal.

Il a bluffé des savants mais été démasqué par des prestidigitateurs : l’Israélien Uri Geller, « l’homme qui tordait les petites cuillères », était pris très au sérieux en 1975.

Le Premier ministre évoque « un plan d’ensemble qui demandera des efforts à tout le monde et qui ne peut réussir si le peuple français ne le soutient pas ».

Le genre, longtemps regardé de haut par les tenants d’un théâtre plus sérieux, connaît un retour de grâce. Feydeau, notamment, revient en majesté sur les scènes subventionnées.