23.09.2025 à 18:50
« Ce qui soude le patronat, c’est une peur panique de la gauche »

Cofondateur de Mediapart, le journaliste Laurent Mauduit a mené une enquête sur le rapprochement progressif entre les entrepreneurs français et l’extrême droite. Au-delà des idéologies, domine l’idée d’un capitalisme sans entraves, affranchi des règles de la démocratie.
Cofondateur de Mediapart, le journaliste Laurent Mauduit a mené une enquête sur le rapprochement progressif entre les entrepreneurs français et l’extrême droite. Au-delà des idéologies, domine l’idée d’un capitalisme sans entraves, affranchi des règles de la démocratie.
23.09.2025 à 18:50
RN et patronat, main dans la main contre les étrangers

Dans le débat public, l’un met en avant des valeurs identitaires et sécuritaires, l’autre raisonne en fonction des intérêts économiques et de la compétitivité. Sur de nombreux sujets, les positions du parti d’extrême droite et du Medef convergent, notamment s’agissant de l’immigration.
Dans le débat public, l’un met en avant des valeurs identitaires et sécuritaires, l’autre raisonne en fonction des intérêts économiques et de la compétitivité. Sur de nombreux sujets, les positions du parti d’extrême droite et du Medef convergent, notamment s’agissant de l’immigration.
23.09.2025 à 17:00
Macron, un beau discours et des contradictions

L’initiative courageuse du président français aux Nations unies appelle maintenant des sanctions contre Israël.
L’initiative courageuse du président français aux Nations unies appelle maintenant des sanctions contre Israël.
23.09.2025 à 16:10
Polémique Bernard Arnault : non, la taxe Zucman n’est pas confiscatoire

Le magnat du luxe voit le prélèvement de 2 % comme une attaque « mortelle contre l’économie française ». Elle ne serait pourtant que le rattrapage d’une anomalie fiscale persistante : les plus riches paient en réalité une part d’impôt inférieure à celle des classes moyennes et populaires.
Le magnat du luxe voit le prélèvement de 2 % comme une attaque « mortelle contre l’économie française ». Elle ne serait pourtant que le rattrapage d’une anomalie fiscale persistante : les plus riches paient en réalité une part d’impôt inférieure à celle des classes moyennes et populaires.