29.04.2025 à 21:57
« En France et dans le monde, il y a une augmentation de la répression des dissidents »

Anne Savinel-Barras, présidente d’Amnesty France, témoigne des répercussions de l’arrivée de Trump au pouvoir, des crimes contre le droit international durant l’année 2024, et de la montée des discriminations en France, à l’occasion de la publication du dernier rapport de l’ONG internationale sur la situation des droits humains.
Anne Savinel-Barras, présidente d’Amnesty France, témoigne des répercussions de l’arrivée de Trump au pouvoir, des crimes contre le droit international durant l’année 2024, et de la montée des discriminations en France, à l’occasion de la publication du dernier rapport de l’ONG internationale sur la situation des droits humains.
29.04.2025 à 21:27
Pour Amnesty International, le droit international est plus que jamais mis à l’épreuve

L’ONG vient de publier son dernier rapport annuel sur la situation des droits humains dans le monde, pour l’année 2024. Il alerte en grande partie sur les violations du droit international dans le cadre de conflits armés, notamment au Moyen-Orient.
L’ONG vient de publier son dernier rapport annuel sur la situation des droits humains dans le monde, pour l’année 2024. Il alerte en grande partie sur les violations du droit international dans le cadre de conflits armés, notamment au Moyen-Orient.
29.04.2025 à 21:22
Des milliards d’euros dans la santé, pas dans l’armement !

La Pride des Banlieues, association de lutte pour les droits des personnes LGBTQIA+ des quartiers populaires, appelle à marcher contre la destruction du droit à la santé pour toutes et tous, dans une tribune signée par de nombreux collectifs et personnalités.
La Pride des Banlieues, association de lutte pour les droits des personnes LGBTQIA+ des quartiers populaires, appelle à marcher contre la destruction du droit à la santé pour toutes et tous, dans une tribune signée par de nombreux collectifs et personnalités.
29.04.2025 à 19:09
La France et la justice sociale de convenance

En mars dernier, Raphaël Glucksmann demandait aux États-Unis de rendre la statue de la Liberté, offerte par la France en 1886. Une sortie révélatrice de l’anti-impérialisme des politiques français·es lorsqu’il s’agit des États-Unis et qui permet de se poser en moraliste, derrière un écran de fumée révisionniste historique.
En mars dernier, Raphaël Glucksmann demandait aux États-Unis de rendre la statue de la Liberté, offerte par la France en 1886. Une sortie révélatrice de l’anti-impérialisme des politiques français·es lorsqu’il s’agit des États-Unis et qui permet de se poser en moraliste, derrière un écran de fumée révisionniste historique.