Où l'on a vu que les campagnes de communication, d'un gros groupe éditorial à l'autre, peinent à masquer l'unité de ligne politique chez ces acteurs économiques interchangeables.

La démonstration militaire menée à Pékin, ces derniers jours, pour marquer l'importance du rôle joué par la Chine dans l'issue de la Seconde Guerre mondiale, a fait la part belle à l'armement terrestre et aérien. Mais la Chine de Xi Jinping cultive aussi des ambitions maritimes, et espère même supplanter dans les prochaines décennies l'US Navy, encore maîtresse des mers et océans.

Où l'on a vu comment l'installation du milliardaire et militant d'extrême droite catholique Vincent Bolloré en pole position des groupes éditoriaux français n'est que l'arbre qui cache une forêt bien mal fréquentée.

Enfances brisées, frites huileuses, percussions libératrices… Deuxième salve de perles glanées au festival « off » d'Avignon.

L'affiche de Génération Mitterrand, ce sont dix lettres à cheval sur dix autres. Un léger décalage. Une main d'homme en costard-chemise blanche tient la main d'un bébé. Le visuel sort des bureaux de Jacques Séguéla, publicitaire en chef et apôtre de la Rolex. François Mitterrand pour sa seconde campagne se prend pour un sphinx, mais c'est la prostate qui est cassée. Il va surpasser enfin la légende du grand sauveur, celle du général de Gaulle, du moins en longévité, alors même que depuis son élection, il trompe les Français sur sa santé. Mitterrand-Tonton aura été comme tous les rois, un menteur habile.