Kiev a pointé mardi l'absence de preuves étayant les accusations de Moscou sur une attaque ukrainienne de drones contre une résidence de Vladimir Poutine, alors que la Russie menace de durcir position dans les pourparlers sur la fin du conflit.

Kiev a pointé l'absence de preuves étayant les accusations de Moscou portant sur une attaque ukrainienne de drones contre une résidence de Vladimir Poutine.

En ce quatrième hiver de guerre, Moscou vise spécifiquement les infrastructures énergétiques d'Ukraine. Afin d'aider les civils privés d'électricité ou d'eau, un train est affrété pour cuisiner et livrer des repas.

Les négociations autour d'un plan de paix en Ukraine semblent toujours bloquer sur une question centrale : l'avenir de certains territoires et notamment la région du Donbass. Explications.

Comme chaque soir, le JT du 23h fait un tour de l'actualité diffusée par les chaînes européennes de télévision. C'est l'Eurozapping du lundi 29 décembre.

La Russie a affirmé que l'Ukraine a lancé, dans la nuit de dimanche à lundi, une attaque utilisant 91 drones sur la résidence du président russe. Une façon de "retarder" les négociations de paix, selon Jean de Gliniasty, directeur de recherche à l'Iris.

Moscou a accusé, lundi, l'Ukraine d'avoir visé la résidence de Poutine dans la région de Novgorod "à l'aide de 91 drones". "Une pure invention", a rétorqué le président ukrainien.

"Je n'aime pas ça. Ce n'est pas bon", a déclaré lundi Donald Trump à la presse depuis sa résidence de Mar-a-Lago.

Le Donbass, cœur industriel de l'Ukraine, est au centre des négociations de l'accord de paix entre l'Ukraine et la Russie. Alors que Vladimir Poutine revendique ce territoire majoritairement russophone, Volodymyr Zelensky serait prêt à retirer ses troupes de la zone, à condition que le Kremlin en fasse autant.

Moscou a accusé, lundi 29 décembre, Kiev d’avoir lancé dans la nuit une attaque de drones contre la résidence de Vladimir Poutine en Russie. Une accusation que les Ukrainiens réfutent mais qui pourrait mettre à mal les efforts diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine.

Des soldats basés à Zweibrücken, près de la frontière française, font l'objet d'enquêtes pour violences, comportements sexistes, consommation de drogues ou affichage de symboles d'extrême droite.