25.04.2025 à 11:48
“Grüne Oase” (2024). Frankfurt am Main, Germany. Photo by Ivan Murzin
“COINCIDENCES.” Ensorinstituut, Oostende, Belgium. Produced by The Crystal Ship
“L’antiporta” (2021), paint on wall, dimensions variable. Biblioteca Ugo Tognazzi, Pomezia. Curated by Marcello Smarrelli and Pastificio Cerere for Sol Indiges. Photo by Lorenzo Palmieri
Iacurci met souvent l'accent sur les motifs géométriques, la flore, les vases classiques et les niches qui abritent des objets ou des figures symboliques. Vous pouvez consulter l'ouvrage Mural Masters de Gingko Press, qui présente la nouvelle génération d'artistes de rue, et en savoir plus sur le site web et l'Instagram d'Iacurci. Des bâtiments colorés et du verty sur les tois et autour, une autre idée de la ville à venir- dumoins, on l’espère…
JP Simard avec Colossal Mag, le 28/04/2025
La ville coloriée d’Agostino Iacurci
“Landscape n.1” (2021), wall painting, 27.7 x 7.1 meters. Las Vegas, Nevada. Commissioned by Life is Beautiful
22.04.2025 à 11:59
Han Lei Guangdong 1993
Bagarre - Kabylifornie
Craque une noix ----
Laisse les nombreux mots
à l'intérieur de la Bible
Seitō Hirahata
L'été ne dure que du mardi au jeudi.
Proverbe finnois
Ça va, mais c’est quand même une putain de vie.
Louis Calaferte, Requiem des innocents
10.04.2025 à 10:23
“Girls on Saturn” (2025)
Son nouvel ensemble d'œuvres, Robitussin, Hotcombs & Grease, évoque des produits omniprésents tels que le décongestionnant en vente libre et les soins capillaires. « En grandissant, j'ai été façonné par les aînés qui m'entouraient, et les objets quotidiens tels que Robitussin, Hotcombs et la graisse sont devenus les réceptacles des rituels qui m'ont ancré dans mon héritage », explique l'artiste. « Ces objets transcendent leur usage banal : ils incarnent des traditions transmises de génération en génération, m'ancrant dans une identité collective. »
“Teddy” (2024), artist-printed photos collaged with paint and glitter in a hand-carved shou sugi ban frame, 43 x 35 x 3 inches
Squirewell découpe et colle des images et des tissus de sa collection avant de photographier la composition, qui est ensuite soumise à un processus d'édition numérique. Chaque pièce est complétée par un cadre élaboré, avec des bords shou sugi ban carbonisés - une technique de brûlage japonaise - et des détails sculptés à la main. Les côtés portent diverses inscriptions reliant le passé et le présent, notamment des lignes de poèmes de Langston Hughes et des glyphes de langues africaines ancestrales tombées en désuétude.
L'identité et l'histoire de nombreux sujets étant inconnues, le travail de Squirewell confère une nouvelle pertinence à leurs images. Comment les pratiques domestiques quotidiennes et l'héritage des générations précédentes ont-ils influencé le présent ? Et comment ces traditions créent-elles une expérience collective plus large ? Enracinées dans ces questions, les œuvres dignes deviennent des reliquaires qui honorent ce qui a été transmis et la façon dont cela continue à informer la vie aujourd'hui.
Robitussin, Hotcombs & Grease est exposé jusqu'au 24 mai à la Claire Oliver Gallery à Harlem. En savoir plus sur Squirewell sur Instagram.
John Patitucco, le 14/04/2025
Stan Squirewell - Vivid Reliquaries
“Teddy’s Lil Sisters” (2024), artist-printed photos collaged with paint and glitter in a hand-carved shou sugi ban frame, 29 x 24 x 2 inches