D’après nos informations, plusieurs salariés du CCIE, et le compagnon de l’une d’elle, ont été placés en garde à vue, après que leurs domiciles ont été perquisitionnés tôt ce mardi 13 mai. Une répression qui intervient deux jours après la marche contre l’islamophobie.
D’après nos informations, plusieurs salariés du CCIE, et le compagnon de l’une d’elle, ont été placés en garde à vue, après que leurs domiciles ont été perquisitionnés tôt ce mardi 13 mai. Une répression qui intervient deux jours après la marche contre l’islamophobie.