Pour M. Gessen, journaliste russe en exil aux États-Unis, le ballet diplomatique de ces derniers jours entre les présidents russe, américain et ukrainien n’est qu’un trompe-l’œil. Si Vladimir Poutine a revu à la baisse quelques-unes de ses exigences démesurées, il continue à revendiquer des territoires que les forces russes ne contrôlent pas, souligne la chronique parue dans le “New York Times”.
Pour M. Gessen, journaliste russe en exil aux États-Unis, le ballet diplomatique de ces derniers jours entre les présidents russe, américain et ukrainien n’est qu’un trompe-l’œil. Si Vladimir Poutine a revu à la baisse quelques-unes de ses exigences démesurées, il continue à revendiquer des territoires que les forces russes ne contrôlent pas, souligne la chronique parue dans le “New York Times”.