Le Premier ministre français, François Bayrou, s’est vu reprocher son “défaut d’action” par la commission d’enquête qui a publié, mercredi 2 juillet, son rapport sur les violences en milieu scolaire à la suite du scandale Bétharram. Une affaire “qui nuit à la crédibilité” du chef du gouvernement, constate la presse internationale.
Le Premier ministre français, François Bayrou, s’est vu reprocher son “défaut d’action” par la commission d’enquête qui a publié, mercredi 2 juillet, son rapport sur les violences en milieu scolaire à la suite du scandale Bétharram. Une affaire “qui nuit à la crédibilité” du chef du gouvernement, constate la presse internationale.