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07.05.2024 à 05:36

Le décollage du vaisseau Starliner de Boeing reporté en raison d'un problème technique

FRANCE 24

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Le vaisseau Starliner de Boeing devait pour la première fois décoller lundi avec des astronautes à son bord, direction la Station spatiale internationale. Mais le lancement a été annulé après qu'une anomalie a été identifiée sur une valve de la fusée Atlas V qui devait propulser la capsule en orbite.
Le vaisseau Starliner de Boeing devait pour la première fois décoller lundi avec des astronautes à son bord, direction la Station spatiale internationale. Mais le lancement a été annulé après qu'une anomalie a été identifiée sur une valve de la fusée Atlas V qui devait propulser la capsule en orbite.

07.05.2024 à 05:23

Le clash entre Drake et Kendrick Lamar explose

FRANCE24

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Ces "clashs" entre poids lourds font partie de la culture hip-hop. Et c'est déjà bien connu dans le milieu et chez leurs fans: Drake, le rappeur qui a engrangé le plus de recettes dans le monde l'an dernier, et Kendrick Lamar, grand nom du rap auréolé d'un prestigieux prix Pulitzer, ne s'apprécient guère. Mais alors que leurs précédentes guerres des mots tournaient notamment autour de leur rivalité - qui des deux est la plus grande star? - cette fois les deux artistes sont allés beaucoup plus loin dans les paroles de morceaux sortis ces derniers jours. "Dis Drake, j'entends dire que tu les préfères jeunes", lance Kendrick Lamar dans "Not Like Us", dans lequel il rappe sur les "pédophiles certifiés". "Colonisateur" Né à Los Angeles, le rappeur star de la côté Ouest accuse aussi son rival canadien et métis d'être un "colonisateur" de la culture noire américaine. Et dans une autre chanson publiée ce week-end, "Meet the Grahams", il affirme que Drake - de son vrai nom Aubrey Graham - a une fille cachée. De son côté, Drake a lancé le morceau "Family Matters", dans lequel il suggère que des infidélités voire des abus ont entaché la relation entre Kendrick Lamar et sa fiancée. Dans "The Heart Part 6", sorti dimanche, Drake, populaire même au-delà des fans du rap, nie en outre toute relation inappropriée avec des mineures: "Je ne regarderais jamais deux fois une adolescente". Les piques, plus acérées que d'ordinaire, ont cette fois atteint un public plus large. La querelle a fait l'objet d'un sketch dans l'émission humoristique culte "Saturday Night Live", tandis que des chronologies détaillées de la dispute ont été publiées dans de grands médias américains. Drake, 37 ans, et Lamar, 36 ans, sont devenus célèbres à la fin des années 2000 et au début des années 2010. "Inévitable" Au début, ils ont fait des apparitions sur leurs albums respectifs et même des tournées ensemble. Mais au fil des années et des différends, leurs chemins se sont séparés. Que leur concurrence se soit transformée en bataille était "inévitable", selon Andre Gee, du magazine Rolling Stone. "Les personnes qui ne comprennent pas leur dispute n'ont pas passé les 15 à 20 dernières années à vouloir être considérées comme le meilleur rappeur de tous les temps", a-t-il écrit. Le rap est marqué depuis des décennies par des "clashs" entre ses plus grands noms, comme celui qui a opposé dans les années 1990 les légendes Tupac Shakur et The Notorious BIG, au plus fort de la rivalité entre le hip-hop de la côte Ouest et celui de la côte Est. Cette dispute-là s'est terminée dans la violence et la tragédie, sur fonds de guerre des gangs et de meurtres. La querelle entre Drake et Kendrick Lamar semble pour l'instant avoir juste aiguisé l'appétit de certains amateurs de rap pour les "diss tracks", ces morceaux consacrés à attaquer ou à humilier les rivaux.
Texte intégral (531 mots)
Ces "clashs" entre poids lourds font partie de la culture hip-hop. Et c'est déjà bien connu dans le milieu et chez leurs fans: Drake, le rappeur qui a engrangé le plus de recettes dans le monde l'an dernier, et Kendrick Lamar, grand nom du rap auréolé d'un prestigieux prix Pulitzer, ne s'apprécient guère. Mais alors que leurs précédentes guerres des mots tournaient notamment autour de leur rivalité - qui des deux est la plus grande star? - cette fois les deux artistes sont allés beaucoup plus loin dans les paroles de morceaux sortis ces derniers jours. "Dis Drake, j'entends dire que tu les préfères jeunes", lance Kendrick Lamar dans "Not Like Us", dans lequel il rappe sur les "pédophiles certifiés". "Colonisateur" Né à Los Angeles, le rappeur star de la côté Ouest accuse aussi son rival canadien et métis d'être un "colonisateur" de la culture noire américaine. Et dans une autre chanson publiée ce week-end, "Meet the Grahams", il affirme que Drake - de son vrai nom Aubrey Graham - a une fille cachée. De son côté, Drake a lancé le morceau "Family Matters", dans lequel il suggère que des infidélités voire des abus ont entaché la relation entre Kendrick Lamar et sa fiancée. Dans "The Heart Part 6", sorti dimanche, Drake, populaire même au-delà des fans du rap, nie en outre toute relation inappropriée avec des mineures: "Je ne regarderais jamais deux fois une adolescente". Les piques, plus acérées que d'ordinaire, ont cette fois atteint un public plus large. La querelle a fait l'objet d'un sketch dans l'émission humoristique culte "Saturday Night Live", tandis que des chronologies détaillées de la dispute ont été publiées dans de grands médias américains. Drake, 37 ans, et Lamar, 36 ans, sont devenus célèbres à la fin des années 2000 et au début des années 2010. "Inévitable" Au début, ils ont fait des apparitions sur leurs albums respectifs et même des tournées ensemble. Mais au fil des années et des différends, leurs chemins se sont séparés. Que leur concurrence se soit transformée en bataille était "inévitable", selon Andre Gee, du magazine Rolling Stone. "Les personnes qui ne comprennent pas leur dispute n'ont pas passé les 15 à 20 dernières années à vouloir être considérées comme le meilleur rappeur de tous les temps", a-t-il écrit. Le rap est marqué depuis des décennies par des "clashs" entre ses plus grands noms, comme celui qui a opposé dans les années 1990 les légendes Tupac Shakur et The Notorious BIG, au plus fort de la rivalité entre le hip-hop de la côte Ouest et celui de la côte Est. Cette dispute-là s'est terminée dans la violence et la tragédie, sur fonds de guerre des gangs et de meurtres. La querelle entre Drake et Kendrick Lamar semble pour l'instant avoir juste aiguisé l'appétit de certains amateurs de rap pour les "diss tracks", ces morceaux consacrés à attaquer ou à humilier les rivaux.

07.05.2024 à 05:15

Européennes: la majorité veut se relancer à la Mutualité

FRANCE24

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Après l'officialisation, fin février, de la tête de liste Valérie Hayer, présidente du groupe Renew (Renaissance) au Parlement européen, le premier "meeting national" à Lille le 17 mars, l'annonce de la liste vendredi et la présentation du programme lundi, place au grand rassemblement parisien pour la macronie, dans une double symbolique au chef de l'Etat. Quelque 3.500 personnes, pour une capacité de 2.000 places, selon la direction de campagne, se sont inscrites pour ce meeting à la Maison de la Mutualité, où Emmanuel Macron avait fait un pas déterminant vers son destin présidentiel en juillet 2016, et où la majorité avait également battu la campagne lors des européennes de 2019. Mais les européennes du 9 juin ressemblent à la croisée des chemins pour le camp présidentiel, qui doit déjà affronter une absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale et dont la liste est en difficulté dans les sondages, loin derrière le Rassemblement national. Dans l'édition du sondage "rolling" Ifop-Fiducial pour LCI, Sud Radio et Le Figaro publiée lundi, la liste conduite par Valérie Hayer est créditée de 16% d'intentions de vote, soit moitié moins que le RN de Jordan Bardella (32%), et avec trois points d'avance sur la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann. "Je ne suis pas inquiète des sondages. Les Français ne sont pas encore dans l'élection. Et moi, quand je fais du terrain, les retours sont plutôt bons. Il y a une dynamique, un truc qui se passe. Mais les Français ne savent pas qu'il y a une élection le 9 juin. On a vraiment un sujet de mobilisation", explique Valérie Hayer à l'AFP. Attal au front L'humeur est combative mais l'optimisme est cependant mesuré au sein de la majorité. Désignation tardive d'une candidate sans notoriété après plusieurs refus (Bruno Le Maire, Jean-Yves Le Drian), impatiences autour de la liste, délicate équation gouvernementale dans un contexte de contrainte budgétaire, volonté du Rassemblement national de faire du scrutin un référendum contre le chef de l'Etat: les pièges sont nombreux. Si, sauf revirement, il ne sera vraisemblablement pas présent à la Mutualité, Emmanuel Macron semble brûler d'en découdre. "Je l'ai dit, je m'impliquerai (dans la campagne). Je ne peux pas vous dire que ces élections sont essentielles et ne pas m'impliquer pour soutenir la liste qui défend l'Europe", a-t-il déclaré ce week-end. Le président a également attaqué les opposants du RN, "perclus d'incohérences", qui "changent de visage en permanence. Un jour le Frexit. Un autre le maintien dans l'Union". Mais en attendant, c'est Gabriel Attal qui doit croiser le fer. "Je souhaite qu'il s'engage au maximum dans la campagne en faisant des débats, des meetings, en allant sur le terrain. C'est ce que je lui ai demandé, comme aussi à l'ensemble du gouvernement", a édicté Emmanuel Macron. Le Premier ministre s'exprimera à la Mutualité, avant la conclusion de Valérie Hayer. "Gabriel Attal va se mettre dans le quotidien des Français", avec une démonstration de ce qu'apporte l'Union européenne pour les citoyens, les agriculteurs ou bien les retraités, et "ce que seraient les conséquences pour eux d'une vague brune", explique son entourage. Le chef du gouvernement, à la demande du chef de l'Etat, devrait également bientôt débattre avec Jordan Bardella. "Il faut déjà qu'il s'implique dans la campagne et que ça se passe au mieux parce que de toute façon, il en sera comptable comme les autres ministres", souligne un leader parlementaire.
Texte intégral (600 mots)
Après l'officialisation, fin février, de la tête de liste Valérie Hayer, présidente du groupe Renew (Renaissance) au Parlement européen, le premier "meeting national" à Lille le 17 mars, l'annonce de la liste vendredi et la présentation du programme lundi, place au grand rassemblement parisien pour la macronie, dans une double symbolique au chef de l'Etat. Quelque 3.500 personnes, pour une capacité de 2.000 places, selon la direction de campagne, se sont inscrites pour ce meeting à la Maison de la Mutualité, où Emmanuel Macron avait fait un pas déterminant vers son destin présidentiel en juillet 2016, et où la majorité avait également battu la campagne lors des européennes de 2019. Mais les européennes du 9 juin ressemblent à la croisée des chemins pour le camp présidentiel, qui doit déjà affronter une absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale et dont la liste est en difficulté dans les sondages, loin derrière le Rassemblement national. Dans l'édition du sondage "rolling" Ifop-Fiducial pour LCI, Sud Radio et Le Figaro publiée lundi, la liste conduite par Valérie Hayer est créditée de 16% d'intentions de vote, soit moitié moins que le RN de Jordan Bardella (32%), et avec trois points d'avance sur la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann. "Je ne suis pas inquiète des sondages. Les Français ne sont pas encore dans l'élection. Et moi, quand je fais du terrain, les retours sont plutôt bons. Il y a une dynamique, un truc qui se passe. Mais les Français ne savent pas qu'il y a une élection le 9 juin. On a vraiment un sujet de mobilisation", explique Valérie Hayer à l'AFP. Attal au front L'humeur est combative mais l'optimisme est cependant mesuré au sein de la majorité. Désignation tardive d'une candidate sans notoriété après plusieurs refus (Bruno Le Maire, Jean-Yves Le Drian), impatiences autour de la liste, délicate équation gouvernementale dans un contexte de contrainte budgétaire, volonté du Rassemblement national de faire du scrutin un référendum contre le chef de l'Etat: les pièges sont nombreux. Si, sauf revirement, il ne sera vraisemblablement pas présent à la Mutualité, Emmanuel Macron semble brûler d'en découdre. "Je l'ai dit, je m'impliquerai (dans la campagne). Je ne peux pas vous dire que ces élections sont essentielles et ne pas m'impliquer pour soutenir la liste qui défend l'Europe", a-t-il déclaré ce week-end. Le président a également attaqué les opposants du RN, "perclus d'incohérences", qui "changent de visage en permanence. Un jour le Frexit. Un autre le maintien dans l'Union". Mais en attendant, c'est Gabriel Attal qui doit croiser le fer. "Je souhaite qu'il s'engage au maximum dans la campagne en faisant des débats, des meetings, en allant sur le terrain. C'est ce que je lui ai demandé, comme aussi à l'ensemble du gouvernement", a édicté Emmanuel Macron. Le Premier ministre s'exprimera à la Mutualité, avant la conclusion de Valérie Hayer. "Gabriel Attal va se mettre dans le quotidien des Français", avec une démonstration de ce qu'apporte l'Union européenne pour les citoyens, les agriculteurs ou bien les retraités, et "ce que seraient les conséquences pour eux d'une vague brune", explique son entourage. Le chef du gouvernement, à la demande du chef de l'Etat, devrait également bientôt débattre avec Jordan Bardella. "Il faut déjà qu'il s'implique dans la campagne et que ça se passe au mieux parce que de toute façon, il en sera comptable comme les autres ministres", souligne un leader parlementaire.
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