Après une mise en demeure lancée le 5 novembre par un collectif d’associations, et révélée par l’Humanité, huit firmes israéliennes avaient d’abord été interdites de participation au salon de la sécurité. Ce jeudi 13 novembre, l’Élysée a fait volte-face, invoquant l’amélioration de « la situation sur le terrain suite au cessez-le-feu ».
Après une mise en demeure lancée le 5 novembre par un collectif d’associations, et révélée par l’Humanité, huit firmes israéliennes avaient d’abord été interdites de participation au salon de la sécurité. Ce jeudi 13 novembre, l’Élysée a fait volte-face, invoquant l’amélioration de « la situation sur le terrain suite au cessez-le-feu ».