(Édito) Prédation Marx comparaît le capital à du « travail mort » qui « ne s’anime qu’en suçant – tel un vampire – du travail vivant, et qui est d’autant plus vivant qu’il en suce davantage ». La métaphore n’a rien perdu de sa pertinence : le capital s’est rarement montré si vorace et pansu. Au point que, selon les données…
(Édito) Prédation Marx comparaît le capital à du « travail mort » qui « ne s’anime qu’en suçant – tel un vampire – du travail vivant, et qui est d’autant plus vivant qu’il en suce davantage ». La métaphore n’a rien perdu de sa pertinence : le capital s’est rarement montré si vorace et pansu. Au point que, selon les données…