Le 30e sommet onusien sur le climat s’est clôturé, samedi 22 novembre, au Brésil, en retard et dans la douleur. Si le texte qui en découle est synonyme de victoire pour le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, il déçoit de nombreux pays et est loin d’être à la hauteur de l’urgence climatique.
Le 30e sommet onusien sur le climat s’est clôturé, samedi 22 novembre, au Brésil, en retard et dans la douleur. Si le texte qui en découle est synonyme de victoire pour le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, il déçoit de nombreux pays et est loin d’être à la hauteur de l’urgence climatique.