Déporté à l’âge de dix ans au camp de Bergen-Belsen, Léon Placek, 92 ans, se dit aujourd’hui pessimiste au vu des guerres en cours sur tous les continents. Il veut transmettre la tolérance et attend des jeunes qu’ils gardent la mémoire des camps vive lorsque les témoins auront disparu.
Déporté à l’âge de dix ans au camp de Bergen-Belsen, Léon Placek, 92 ans, se dit aujourd’hui pessimiste au vu des guerres en cours sur tous les continents. Il veut transmettre la tolérance et attend des jeunes qu’ils gardent la mémoire des camps vive lorsque les témoins auront disparu.