Jean de Saint-Cheron consacre sa chronique du mercredi 15 octobre à la parution des Reines du bois, de Françoise Évenou, qui n’aurait pas trouvé sa place dans les bibliothèques puritaines des bourgeois de François Mauriac. Citant la première exhortation de Léon XIV, Dilexi te, il invite à ouvrir notre cœur.
Jean de Saint-Cheron consacre sa chronique du mercredi 15 octobre à la parution des Reines du bois, de Françoise Évenou, qui n’aurait pas trouvé sa place dans les bibliothèques puritaines des bourgeois de François Mauriac. Citant la première exhortation de Léon XIV, Dilexi te, il invite à ouvrir notre cœur.