Fréderic Péchier a pris la parole, vendredi 5 décembre, pour sa dernière intervention du procès. Il a parlé des euthanasies pratiquées au début des années 2000 au CHU de Besançon. Il a aussi nié avoir voulu, en 1999, pratiquer une amputation à tort. Il a enfin manifesté beaucoup d’émotion en parlant de ses trois enfants, présents à l’audience.
Fréderic Péchier a pris la parole, vendredi 5 décembre, pour sa dernière intervention du procès. Il a parlé des euthanasies pratiquées au début des années 2000 au CHU de Besançon. Il a aussi nié avoir voulu, en 1999, pratiquer une amputation à tort. Il a enfin manifesté beaucoup d’émotion en parlant de ses trois enfants, présents à l’audience.