ENTRETIEN. George Simion, candidat d’extrême droite et eurosceptique, est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle en Roumanie. Alors que l’économie du pays affiche de bons indicateurs, ses électeurs sont tentés par un candidat « antisystème » et anti-Bruxelles. Des ressorts qui font le lit d’un euroscepticisme montant en Europe, selon Florent Parmentier, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors.
ENTRETIEN. George Simion, candidat d’extrême droite et eurosceptique, est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle en Roumanie. Alors que l’économie du pays affiche de bons indicateurs, ses électeurs sont tentés par un candidat « antisystème » et anti-Bruxelles. Des ressorts qui font le lit d’un euroscepticisme montant en Europe, selon Florent Parmentier, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors.