Alors que le Japon vient d’enterrer Tomiichi Murayama, l’ex-premier ministre qui avait présenté des excuses pour les crimes commis par son pays lors de la seconde guerre mondiale, la photographe Haruka Sakaguchi s’attache, elle, à exhumer une autre mémoire enfouie : celle des camps d’incarcération de Japonais aux Etats-Unis, racontée dans son film « Loyal American ».
Alors que le Japon vient d’enterrer Tomiichi Murayama, l’ex-premier ministre qui avait présenté des excuses pour les crimes commis par son pays lors de la seconde guerre mondiale, la photographe Haruka Sakaguchi s’attache, elle, à exhumer une autre mémoire enfouie : celle des camps d’incarcération de Japonais aux Etats-Unis, racontée dans son film « Loyal American ».