24.11.2025 à 14:13
Marine Barrio
On pensait que le cerveau vivait en colocation exclusive avec le glucose, refusant catégoriquement l’entrée aux graisses alimentaires. Surprise : il entretient en réalité une relation beaucoup plus intime avec les lipides qu’il ne voulait bien l’admettre. Les dernières recherches montrent même que ces graisses discutent directement avec nos neurones dopaminergiques — oui, ceux qui
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