Le sort de François Bayrou, comme celui de ses récents prédécesseurs à Matignon, pourrait bien être scellé par le débat sur la loi de finances... Une obsolescence programmée qui tient à l’absence de majorité absolue à l’Assemblée nationale depuis juin 2022.
Le Front de Libération nationale kanak et socialiste, dirigé par Christian Tein, a rejeté l’accord sur l’avenir institutionnel de l’archipel, signé le 12 juillet avec l’Etat et les loyalistes. Mis en examen pour son rôle présumé dans les émeutes de mai 2024, il est une figure kanake.
Comment peut-on se passionner pour des drames insoutenables ? Réponse de notre chroniqueuse et essayiste Mara Goyet, qui a publié un ouvrage intitulé « Sous le charme du faits divers » (Stock, 2016).
« Les Etats-Unis sont aujourd’hui une démocratie défaillante, voire un régime hybride où coexistent des dispositifs démocratiques et autoritaires », estime la spécialiste de l’autoritarisme, Natasha Lindstaedt.
Retraités ou étudiants, anciens policiers ou gendarmes… Ils sont de plus en plus nombreux à vouloir résoudre des affaires de crimes ou de disparitions. Plongée au cœur de cette passion renouvelée pour les faits divers
Des cas autochtones du virus du Nil occidental ont déjà été détectés dans le sud de la France, mais jamais aussi au nord du pays comme ici, en Seine-Saint-Denis.
Dans le Londres victorien, deux adolescents traquent un criminel à l’intelligence diabolique, leurs noms : Sherlock Holmes et John H. Watson. Ce soir à 20h40 sur Paramount Network.
Jonathan Cohen, flic crooner, mène l’enquête à la Réunion dans une comédie loufoque relevée par Raphaël Quenard, Emmanuelle Bercot et Ramzy Bedia. Ce soir à 21h10 sur TF1.
Abandonner la région de Donetsk et geler le reste de la ligne de front ? Impossible au risque de fragiliser toute la défense du pays, arguent Kiev et ses alliés. Aux yeux de Trump, la dynamique sur le terrain plaide en faveur de la Russie, qui réalise une percée au moment le plus opportun.
La France traverse son deuxième épisode caniculaire de l’été. Des canicules qui favorisent l’augmentation des violences conjugales et les féminicides, d’après plusieurs études relayées par les Nations unies.
Un rapport d’historiens remis en janvier au président français soulignait le glissement de la répression des autorités coloniales françaises vers une véritable « guerre » entre 1956 et 1961, qui a sans doute fait « des dizaines de milliers de victimes ».