Cette notion est de plus en plus présente dans les discussions autour des politiques climatiques. On peut y voir une manière de dire « encore un instant, monsieur le bourreau ».
L’incontournable romancière italienne Elsa Morante (morte en 1985) se dévoile sous le regard d’Alberto Moravia (mort en 1990), son mari pendant vingt-cinq ans. Dans cet article publié dans « le Nouvel Observateur » en 1987, le grand écrivain et journaliste dépeint, entre admiration et distance, une femme exigeante, fascinée par l’enfance, artiste secrète et indépendante.