Le timing, juste avant la remise du prix Nobel de la paix, comme le « storytelling » de l’annonce de l’accord entre Israël et le Hamas sont fascinants. Le succès diplomatique au Moyen-Orient du président américain repose aussi sur la manière vaniteuse qu’il a de tout ramener à lui.
Sur fond de crise politique, le Parlement péruvien a destitué jeudi la présidente Dina Boluarte, arguant d’une « incapacité morale permanente ». La présidence du pays est assurée par José Jeri, président du Parlement péruvien, jusqu’en juillet 2026.
La procureure générale de l’Etat de New York, Letitia James, avait obtenu la condamnation de Donald Trump en 2024 dans une vaste affaire de fraude. Son inculpation survient après celle de l’ex-directeur du FBI James Comey, lui aussi un adversaire personnel du président américain.
Après de fortes pressions de Donald Trump, l’Etat hébreu et le Hamas ont validé jeudi la première phase du plan de paix américain prévoyant notamment la libération des otages encore retenus dans l’enclave en échange de prisonniers palestiniens.
Pour la première fois depuis sa création en 1987, le groupe islamiste vacille. Jadis structuré comme une armée, le mouvement, qui n’est plus qu’une mosaïque d’unités isolées, a accepté dans la nuit de mercredi à jeudi de libérer les otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens et d’un redéploiement de l’armée israélienne.