Passionné de longue date par l’innovation numérique, Thomas, professeur d’histoire-géographie dans un lycée de grande banlieue parisienne, s’est emparé de l’intelligence artificielle pour son usage propre et pour faire progresser ses élèves. Un usage qu’il veut « vigilant » mais néanmoins « enthousiaste ».
Après un début d’année prometteur, les professionnels notent un léger ralentissement. Les acquéreurs sont présents mais négocient avec fermeté. Les vendeurs pragmatiques l’acceptent, les autres patientent.
Convaincu par les opportunités offertes par l’intelligence artificielle, Jean-Louis, professeur d’anglais en lycée général à Bourg-Saint-Maurice (Savoie), mesure toutefois déjà ses conséquences délétères sur le rapport au savoir de nombreux élèves.
Enarque, conseiller d’Etat, l’ancien directeur général de l’enseignement scolaire écope d’un ministère très politique alors que sa vision stratégique de l’éducation reste difficile à cerner, même par ceux qui l’ont côtoyé de près.
Des chercheurs ont noté dans une étude « un dépérissement sans précédent » des récifs, affectant la subsistance de « centaines de millions de personnes qui en dépendent ».