Mardi 24 juin, dans une ambiance de meeting politique qui ne s’assume pas, le « Sommet des Libertés » a réuni des têtes d’affiche de l’extrême droite française, de Jordan Bardella à Sarah Knafo, sous l’impulsion des milliardaires ultra-libéraux, Bolloré et Stérin.
Souvent invoquée face à la question palestinienne, « la rue arabe » masque, sous une apparente unité, la diversité et la conflictualité des sociétés arabes. Un cliché qui réduit la solidarité à une appartenance, plutôt qu’à un choix politique.
Jongleur, metteur en scène et directeur du Sirque à Nexon, dans le Limousin, Martin Palisse alerte sur l’effondrement de soixante ans de structuration de son champ artistique. Il en appelle à une réflexion sur les modèles de production.
Dans un contexte de coupes budgétaires sévères de la part de l’État et des collectivités territoriales, nombre de comédiens, musiciens, circassiens, etc. doivent réduire leurs activités. Ils alertent sur l’urgence de défendre la notion de service public de la culture, menacée de disparition.
Le Planning familial a dénoncé, dans un communiqué, les coupes budgétaires dont il fait les frais. Dans un contexte marqué par la progression de l’extrême droite et le recul du droit des femmes, sa présidente appelle au sursaut et se félicite du soutien déjà obtenu.