L’idée d’un État commun a été défendue dès 1925, par l’organisation Brit Shalom et par des prestigieux penseurs juifs, avant de s’évanouir au profit d’une solution à deux États. Mais cette dernière piste est devenue « impraticable » au regard de la violente colonisation perpétrée à Gaza et dans les territoires palestiniens occupés aujourd’hui. Quelle autre solution reste-t-il ?
Selon la Convention internationale des droits de l’enfant, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être « une considération primordiale » dans toutes les décisions qui le concernent. Mais en France, la politique familialiste a longtemps privilégié les droits des liens biologiques. Les lignes commencent à bouger et se heurtent à l’état désastreux de la protection de l’enfance.
Les grands patrons comme Bernard Arnault qui menacent de se délocaliser aux États-Unis font un choix politique bien au-delà de la course au profit. Car ils ne peuvent ignorer la dimension idéologique du nouveau pouvoir américain.
Yanis Varoufakis, Pablo Iglesias, Angela Davis, Annie Ernaux, Ken Loach et plus d’un millier de personnalités appellent au soutien des défenseurs de la cause palestinienne menacés partout dans le monde.
Depuis 2014, avec l’invasion de la Russie en Ukraine, de nombreuses familles ont fui. Viktoria Tkachenko*, avec sa fille et son époux malade du cancer, ont été accueillis en France et sont hébergés dans un foyer versaillais. Elle raconte.
Inflexion idéologique chez les sociaux-démocrates, victoire culturelle pour la gauche radicale… Face à la guerre commerciale de Donald Trump, toutes les chapelles de la gauche convergent vers un discours protectionniste, avec des différences.