Tout débat politique concernant le département ultramarin vire sans attendre à la question de l’immigration, comme si le pays n’avait rien d’autre à proposer à l’île pour la reconstruire, y réduire les inégalités et proposer des conditions d’existence dignes aux Mahorais.
Mimi Aum Neko, coprésidente de l’association Acceptess-T, lance un cri d’alarme sur la montée des violences et attaques transphobes, auxquelles participent les institutions, comme la Cour suprême britannique avec sa récente décision sur la définition légale de « femme ».