Alors que la taxe qui vise à taxer les patrimoines des ultra-riches, s’impose dans le débat public, le patronat monte de plus en plus violemment au front pour s’indigner de cette proposition. Signe d’une panique croissante.
Par l’intermédiaire de son protagoniste, un musicien aussi clownesque que corrompu, Nadav Lapid offre, dans son cinquième long métrage, Oui, un portrait de son pays, Israël, carnavalesque et cinglant, qui n’exclut pourtant pas une certaine beauté.