À l’approche du vote final du PLFSS, près de 150 rassemblements ont eu lieu mardi à l’appel de la CGT, FSU et Solidaires. À Paris, le cortège était clairsemé, mais déterminé, dénonçant un budget austéritaire, la possibilité d’une adoption par ordonnances et une « année blanche » qui gèlerait les prestations sociales.
Ses propres soutiens sont aux abonnés absents, la macronie ne veut rien céder, les socialistes jouent leur propre partition… Le premier ministre se retrouve dans l’impasse. Et pourrait renoncer à son engagement originel sur le 49.3. Dégringolade politique.