17.11.2025 à 09:30
Traditionnellement fixée à 476, la fin de l'Antiquité se laisse difficilement marquer par une date unique pour une histoire « en tranches ». Sylvain Destephen propose l'an 542, marqué par guerres, peste et mutations impériales. Un travail de contextualisation qui met en avant la période mal connue de l'Antiquité tardive.
Traditionnellement fixée à 476, la fin de l'Antiquité se laisse difficilement marquer par une date unique pour une histoire « en tranches ». Sylvain Destephen propose l'an 542, marqué par guerres, peste et mutations impériales. Un travail de contextualisation qui met en avant la période mal connue de l'Antiquité tardive.