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02.07.2025 à 14:28

Gaza : Israël a accepté les conditions d'un cessez-le-feu de 60 jours, selon Donald Trump

FRANCE24
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Selon le président américain, les médiateurs qataris et égyptiens transmettront bientôt la proposition finale de cessez-le-feu au Hamas. Un accord pourrait entrer en vigueur dès la semaine prochaine. L'analyse de Ziad Majed, responsable du programme des études du Moyen-Orient à l'Université américaine de Paris.
Selon le président américain, les médiateurs qataris et égyptiens transmettront bientôt la proposition finale de cessez-le-feu au Hamas. Un accord pourrait entrer en vigueur dès la semaine prochaine. L'analyse de Ziad Majed, responsable du programme des études du Moyen-Orient à l'Université américaine de Paris.

02.07.2025 à 14:27

Tour de France: "on espère tous la bagarre", dit le directeur Christian Prudhomme

FRANCE24
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QUESTION: Le Tour part samedi de Lille pour une édition 100% française. Qu'attendez-vous de cette première semaine ? REPONSE: "Autrefois, on espérait qu'une chose: qu'elle se termine vite. Cette année, c'est exactement le contraire. Si tu ne regardes que les villes de départ et d'arrivée, tu te dis qu'il y a dix jours dans la plaine. Mais c'est une plaine en trompe l'oeil. Une fausse plaine. On a fait le choix avec Thierry (Gouvenou, le directeur course) de traquer les côtes partout où il y en a. A Boulogne, à Rouen, à Vire, à Mûr-de-Bretagne qui est devenu un classique". Q: Mais il n'y aura pas de pavés dans le nord, c'est trop dangereux ? R: "Dangereux peut-être, trop tôt en tout cas. On n'est pas susceptibles d'être anti-pavés. Thierry, sa course de coeur est Paris-Roubaix. Mais on a pris l'option des côtes. Et non seulement des côtes raides mais des côtes où les coureurs vont ressortir à découvert et où le vent risque de faire de gros dégâts. Thierry joue beaucoup sur large-étroit, les virages, les changements de direction, le vent qui peut arriver. Il magnifie les parcours que je lui demande". Q: Il y a un coureur qui domine. Est-ce que le Tour sera déjà joué après les Pyrénées ? R: "J'espère que non, mais ça on ne le sait jamais avant. On fait tout pour que ça puisse se jouer au dernier moment. C'est sûr que le dernier Critérium du Dauphiné a montré un Pogacar supérieur en montagne. S'il est au même niveau que ces derniers mois, ce sera très compliqué pour ses adversaires. C'est aussi pour ça que la première semaine sera peut-être la plus importante depuis des années. C'est là où il faut essayer de lui prendre du temps". Q: C'est important pour le Tour d'avoir un duel ? R: "Bien sûr, parce que ça voudrait dire qu'il y a de la bagarre. Et il n'y a rien de mieux qu'un duel. Ca fait le sel de toutes les compétitions sportives. Sur ces cinq dernières années, on a un 3-2 en faveur de Pogacar contre Jonas Vingegaard. Et on a envie que le match continue, avec, pourquoi pas un (Remco) Evenepoel ou un autre troisième homme, peut-être (Florian) Lipowitz". Q: Y a-t-il un phénomène de lassitude qui s'installe par rapport à Pogacar ? R: "Comme à l'époque d'Eddy Merckx. Le gars qui gagne beaucoup. C'est pour ça qu'on serait absolument ravis qu'il y ait du suspense. On espère tous la bagarre et nous, les organisateurs aussi". Q: Que pensez-vous des critiques de Vingegaard, Evenepoel ou Van Aert sur le passage par Montmartre lors de la dernière étape ? R: "Je le comprends parfaitement, de la même manière que certains coureurs n'étaient pas ravis quand on a remis les pavés ou les chemins blancs au goût du jour. Voilà, ça fait partie de ces choses. Mais je ne doute pas que ce sera formidable". Q: Bernard Hinault est le dernier vainqueur français, il y a 40 ans. Qu'il n'ait pas de successeur cette année encore sonne comme une évidence ? R: "Le cyclisme français est entre deux générations. Thibaut Pinot est parti, Romain Bardet est parti. Julian Alaphilippe n'est plus le Julian d'il y a une demi-douzaine d'années. Mais on a de nouveaux coureurs très jeunes, pleins de talent comme Lenny Martinez, Romain Grégoire ou Kevin Vauquelin. Peut-être qu'il n'y aura pas de trou finalement, peut-être que les deux cols vont s'enchaîner, qu'on n'aura pas 50 km dans la plaine pour passer d'une génération à l'autre. Pour le général, on n'a personne pour le moment. Mais on a des coureurs pour aller gagner des étapes". Q: Paul Seixas, 18 ans, peut-il être celui qui va mettre fin à la disette ? R: "On m'a demandé si j'étais déçu de ne pas l'avoir au départ du Tour. J'ai dit non, au contraire, je suis très rassuré. Heureusement qu'il n'est pas sur le Tour en 2025, et j'espère qu'il ne sera pas sur le Tour en 2026. C'est un talent pur, sans aucun doute. Mais il faut le protéger. De tout. Et aussi d'une attention trop forte. On a tous envie, les amoureux du vélo, les journalistes, les organisateurs. Mais il faut le laisser grandir. Mais oui, bien sûr, Paul Seixas, c'est exceptionnel. Se dire qu'en 2031, il pourra encore concourir pour le maillot blanc de meilleur jeune, j'ai du mal à l'accepter (rires). Ce n'est pas possible". Propos recueillis par Jacques KLOPP
Texte intégral (795 mots)
QUESTION: Le Tour part samedi de Lille pour une édition 100% française. Qu'attendez-vous de cette première semaine ? REPONSE: "Autrefois, on espérait qu'une chose: qu'elle se termine vite. Cette année, c'est exactement le contraire. Si tu ne regardes que les villes de départ et d'arrivée, tu te dis qu'il y a dix jours dans la plaine. Mais c'est une plaine en trompe l'oeil. Une fausse plaine. On a fait le choix avec Thierry (Gouvenou, le directeur course) de traquer les côtes partout où il y en a. A Boulogne, à Rouen, à Vire, à Mûr-de-Bretagne qui est devenu un classique". Q: Mais il n'y aura pas de pavés dans le nord, c'est trop dangereux ? R: "Dangereux peut-être, trop tôt en tout cas. On n'est pas susceptibles d'être anti-pavés. Thierry, sa course de coeur est Paris-Roubaix. Mais on a pris l'option des côtes. Et non seulement des côtes raides mais des côtes où les coureurs vont ressortir à découvert et où le vent risque de faire de gros dégâts. Thierry joue beaucoup sur large-étroit, les virages, les changements de direction, le vent qui peut arriver. Il magnifie les parcours que je lui demande". Q: Il y a un coureur qui domine. Est-ce que le Tour sera déjà joué après les Pyrénées ? R: "J'espère que non, mais ça on ne le sait jamais avant. On fait tout pour que ça puisse se jouer au dernier moment. C'est sûr que le dernier Critérium du Dauphiné a montré un Pogacar supérieur en montagne. S'il est au même niveau que ces derniers mois, ce sera très compliqué pour ses adversaires. C'est aussi pour ça que la première semaine sera peut-être la plus importante depuis des années. C'est là où il faut essayer de lui prendre du temps". Q: C'est important pour le Tour d'avoir un duel ? R: "Bien sûr, parce que ça voudrait dire qu'il y a de la bagarre. Et il n'y a rien de mieux qu'un duel. Ca fait le sel de toutes les compétitions sportives. Sur ces cinq dernières années, on a un 3-2 en faveur de Pogacar contre Jonas Vingegaard. Et on a envie que le match continue, avec, pourquoi pas un (Remco) Evenepoel ou un autre troisième homme, peut-être (Florian) Lipowitz". Q: Y a-t-il un phénomène de lassitude qui s'installe par rapport à Pogacar ? R: "Comme à l'époque d'Eddy Merckx. Le gars qui gagne beaucoup. C'est pour ça qu'on serait absolument ravis qu'il y ait du suspense. On espère tous la bagarre et nous, les organisateurs aussi". Q: Que pensez-vous des critiques de Vingegaard, Evenepoel ou Van Aert sur le passage par Montmartre lors de la dernière étape ? R: "Je le comprends parfaitement, de la même manière que certains coureurs n'étaient pas ravis quand on a remis les pavés ou les chemins blancs au goût du jour. Voilà, ça fait partie de ces choses. Mais je ne doute pas que ce sera formidable". Q: Bernard Hinault est le dernier vainqueur français, il y a 40 ans. Qu'il n'ait pas de successeur cette année encore sonne comme une évidence ? R: "Le cyclisme français est entre deux générations. Thibaut Pinot est parti, Romain Bardet est parti. Julian Alaphilippe n'est plus le Julian d'il y a une demi-douzaine d'années. Mais on a de nouveaux coureurs très jeunes, pleins de talent comme Lenny Martinez, Romain Grégoire ou Kevin Vauquelin. Peut-être qu'il n'y aura pas de trou finalement, peut-être que les deux cols vont s'enchaîner, qu'on n'aura pas 50 km dans la plaine pour passer d'une génération à l'autre. Pour le général, on n'a personne pour le moment. Mais on a des coureurs pour aller gagner des étapes". Q: Paul Seixas, 18 ans, peut-il être celui qui va mettre fin à la disette ? R: "On m'a demandé si j'étais déçu de ne pas l'avoir au départ du Tour. J'ai dit non, au contraire, je suis très rassuré. Heureusement qu'il n'est pas sur le Tour en 2025, et j'espère qu'il ne sera pas sur le Tour en 2026. C'est un talent pur, sans aucun doute. Mais il faut le protéger. De tout. Et aussi d'une attention trop forte. On a tous envie, les amoureux du vélo, les journalistes, les organisateurs. Mais il faut le laisser grandir. Mais oui, bien sûr, Paul Seixas, c'est exceptionnel. Se dire qu'en 2031, il pourra encore concourir pour le maillot blanc de meilleur jeune, j'ai du mal à l'accepter (rires). Ce n'est pas possible". Propos recueillis par Jacques KLOPP

02.07.2025 à 14:23

L'Allemagne sue sous la canicule qui a essoré l'Europe

FRANCE24
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Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu'à 40°C localement, tel à Mannheim, dans le sud-ouest, selon le service météorologique allemand. Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi mais avec des températures moindres que dans le sud du continent qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours. "Je vais travailler et transpirer — je donne des cours jusqu’à midi et demi, puis on aura des réunions l'après-midi. Je ne ferai pas de sport et je boirai beaucoup", confie Klaus Hirsch, enseignant à Francfort (ouest). Asphalte déformé Les chemins de fer allemands, la Deutsche Bahn, s’attendent à des retards et des restrictions de circulation sur certaines lignes, particulièrement dans l'ouest, plus touché par la chaleur. Sur les autoroutes de ce pays où l'automobile est reine, l'asphalte de la chaussée s'est déformé sous l'effet des températures, rapporte la presse allemande. Dans un geste symbolique et pragmatique, les militants du collectif Fridays for Future manifesteront pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d'échapper à la fournaise. Ces activistes climatiques protesteront contre les plans du chancelier conservateur Friedrich Merz de miser davantage sur le gaz, une des énergies fossiles source du réchauffement de la planète. Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s'achever par des orages particulièrement forts accompagnés de grêle et de rafales de vent jusqu'à 120 km/h, dans le nord-ouest du pays - de Cologne à Hambourg. En Belgique, l'Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, sera fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur. Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s'efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu'ils sont disponibles, organiser des jeux d'eau et des pauses à l'ombre. Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première "nuit tropicale" de l'année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C. Humains et animaux tentent de s'adapter à cette vague de chaleur précoce : un berger néerlandais a fait paître ses moutons beaucoup plus tôt que d’habitude mercredi matin, dans le centre du pays, car "les animaux supportent mieux le froid que la chaleur", a-t-il expliqué au média local Omroep Gelderland. Il n'a pas tondu ses moutons, car la "laine les protège de la chaleur (...) ils attraperaient des coups de soleil beaucoup plus vite", a-t-il ajouté. Inégalités Les habitants du sud de l'Europe espèrent un peu de répit, après un mois de juin aux températures record et plusieurs journées suffoquantes qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur. "Vers 3h du matin, on se réveille en se disant +qu'est-ce qu'il faut chaud !+ On ne met pas la clim car même dans les foyers de la classe moyenne on ne peut pas se le permettre", souligne Julia Munoz, 60 ans, rencontrée dans le métro de Madrid. Le "pic le plus intense" est passé en France, selon le gouvernement. De Rome à Paris, les autorités dressent les premiers bilans sanitaires, même si une estimation plus globale des décès liés à cet épisode devrait prendre des mois. "Plus de 300 personnes ont été prises en charge en urgence par les pompiers et deux sont décédées à la suite de malaises liés à la chaleur", a déclaré mercredi la ministre française de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l'AFP. Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d'excès de mortalité. Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l'année. burs-clp/smk/dsa
Texte intégral (729 mots)
Dans le pays européen le plus peuplé, la température doit atteindre des maximales comprises entre 34 et 38°C, et jusqu'à 40°C localement, tel à Mannheim, dans le sud-ouest, selon le service météorologique allemand. Comme pour la Belgique et les Pays-Bas, la canicule est arrivée mardi mais avec des températures moindres que dans le sud du continent qui affronte des conditions extrêmes depuis plusieurs jours. "Je vais travailler et transpirer — je donne des cours jusqu’à midi et demi, puis on aura des réunions l'après-midi. Je ne ferai pas de sport et je boirai beaucoup", confie Klaus Hirsch, enseignant à Francfort (ouest). Asphalte déformé Les chemins de fer allemands, la Deutsche Bahn, s’attendent à des retards et des restrictions de circulation sur certaines lignes, particulièrement dans l'ouest, plus touché par la chaleur. Sur les autoroutes de ce pays où l'automobile est reine, l'asphalte de la chaussée s'est déformé sous l'effet des températures, rapporte la presse allemande. Dans un geste symbolique et pragmatique, les militants du collectif Fridays for Future manifesteront pour la première fois à la nuit tombée, à partir de 22H00, afin d'échapper à la fournaise. Ces activistes climatiques protesteront contre les plans du chancelier conservateur Friedrich Merz de miser davantage sur le gaz, une des énergies fossiles source du réchauffement de la planète. Cette journée de températures record pour début juillet pourrait s'achever par des orages particulièrement forts accompagnés de grêle et de rafales de vent jusqu'à 120 km/h, dans le nord-ouest du pays - de Cologne à Hambourg. En Belgique, l'Atomium, monument emblématique de Bruxelles en inox, sera fermé mercredi après-midi à cause de la chaleur. Dans les écoles de Wallonie qui ne sont pas encore en vacances, contrairement à celles de Flandre, les enseignants s'efforcent de maintenir les enfants au frais en utilisant des ventilateurs et des climatiseurs lorsqu'ils sont disponibles, organiser des jeux d'eau et des pauses à l'ombre. Les Pays-Bas ont quant à eux connu leur première "nuit tropicale" de l'année, avec des températures bloquées au dessus de 20°C. Humains et animaux tentent de s'adapter à cette vague de chaleur précoce : un berger néerlandais a fait paître ses moutons beaucoup plus tôt que d’habitude mercredi matin, dans le centre du pays, car "les animaux supportent mieux le froid que la chaleur", a-t-il expliqué au média local Omroep Gelderland. Il n'a pas tondu ses moutons, car la "laine les protège de la chaleur (...) ils attraperaient des coups de soleil beaucoup plus vite", a-t-il ajouté. Inégalités Les habitants du sud de l'Europe espèrent un peu de répit, après un mois de juin aux températures record et plusieurs journées suffoquantes qui ont de nouveau mis en lumière les inégalités face à la chaleur. "Vers 3h du matin, on se réveille en se disant +qu'est-ce qu'il faut chaud !+ On ne met pas la clim car même dans les foyers de la classe moyenne on ne peut pas se le permettre", souligne Julia Munoz, 60 ans, rencontrée dans le métro de Madrid. Le "pic le plus intense" est passé en France, selon le gouvernement. De Rome à Paris, les autorités dressent les premiers bilans sanitaires, même si une estimation plus globale des décès liés à cet épisode devrait prendre des mois. "Plus de 300 personnes ont été prises en charge en urgence par les pompiers et deux sont décédées à la suite de malaises liés à la chaleur", a déclaré mercredi la ministre française de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher. En Italie, selon la Simeu, regroupant médecins et infirmiers travaillant aux urgences, la vague de chaleur a entraîné une hausse de 10% des arrivées aux urgences dans les grandes villes comme Milan, Florence ou Naples, selon leur service de presse contacté par l'AFP. Les canicules de 2003 et 2022 avaient provoqué respectivement 70.000 et 61.000 décès prématurés en Europe, selon des études d'excès de mortalité. Si les vagues de chaleur en été ne sont pas nouvelles, après des décennies de combustion de charbon, de pétrole et de gaz responsables du réchauffement, les canicules surviennent plus tôt et plus tard dans l'année. burs-clp/smk/dsa
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