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13.10.2025 à 22:40

Otages libérés, cessez-le-feu à Gaza : la fin d'une "ère de terreur" ?

Stéphanie ANTOINE
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En cette journée qualifiée d'historique, les 20 derniers otages israéliens vivants détenus à Gaza par le Hamas ont été libérés ce lundi matin et ont retrouvé leurs familles en Israël. Cette libération a été négociée contre celle de près de 2000 prisonniers palestiniens arrivés à Gaza ou en Cisjordanie. À Charm el-Cheikh en Égypte, une vingtaine de pays se sont réunis en présence de Donald Trump : les pays arabes mais aussi la Turquie et plusieurs pays européens dont la France et le Royaume-Uni. Benjamin Netanyahu a quant à lui décliné l'invitation du président américain, qui s'est exprimé devant la Knesset plus tôt dans la journée en évoquant un "nouvel âge d'or au Moyen-Orient". La phase I du plan Trump est elle achevée ? Est-ce la fin d'une "ère de terreur" à Gaza ?

13.10.2025 à 22:07

Wall Street retrouve son optimisme à travers le brouillard commercial

FRANCE24
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Le Dow Jones a pris 1,29%, l'indice Nasdaq a grimpé de 2,29% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 1,56%.
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Le Dow Jones a pris 1,29%, l'indice Nasdaq a grimpé de 2,29% et l'indice élargi S&P 500 a gagné 1,56%.

13.10.2025 à 20:39

Nouveau vol test sous pression de la mégafusée Starship d'Elon Musk

FRANCE24
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Alors que le multimilliardaire pensait avoir dissipé les craintes après un vol réussi en août, celles-ci ont resurgi ces dernières semaines, des experts spatiaux estimant que la fusée pourrait ne pas être prête à temps. Cette fusée colossale de plus de 120 mètres, qui doit décoller du Texas lundi à partir de 18H15 (23H15 GMT) pour un 11e vol d'essai, devrait en théorie mener des vols vers Mars à partir de 2026 et permettre aux Américains de retourner sur la Lune en 2027. Mais ces échéances apparaissent de plus en plus difficiles à tenir, "des milliers de défis techniques" restant encore à surmonter selon la propre confession d'Elon Musk. "Nous sommes sur le point de perdre la Lune", ont alerté en septembre trois anciens hauts responsables de la Nasa dans une tribune sur SpaceNews, tandis qu'un panel d'experts indépendant a estimé qu'à ce rythme, la version modifiée de Starship devant servir d'alunisseur pourrait avoir "des années" de retard. "Il est très improbable que nous allions sur la Lune avant la Chine", a également jugé Jim Bridenstine, ancien patron de la Nasa, devant une commission sénatoriale, exhortant Washington à élaborer un plan B. "Course à l'espace" L'enjeu est crucial, l'administration Trump faisant ouvertement référence à "une deuxième course à l'espace" lancée avec cette puissance rivale, après celle que s'étaient livrés les États-Unis et l'Union soviétique lors de la Guerre froide. Or, la mission Artémis 3 qui prévoit le retour des Américains sur le sol lunaire repose en partie sur une fusée Starship ayant démontré sa capacité à mener des voyages interplanétaires en toute sécurité, ce qui n'est pas encore le cas. Après une série noire d'explosions en début d'année, SpaceX a réussi en août à mener un vol en tout en maîtrise de sa mégafusée. Mais de nombreuses étapes doivent encore être franchies, notamment son ravitaillement en carburant une fois dans l'espace, une manoeuvre extrêmement complexe qui ne sera pas tentée lors de ce nouveau vol test. L'entreprise ambitionne à la place de collecter davantage de données sur le propulseur et le vaisseau de sa fusée, qui ne seront pas récupérés lundi mais doivent à terme être entièrement réutilisables. Malgré ces défis à venir et les retards enregistrés, Elon Musk continue d'afficher sa confiance. L'ancien allié de Donald Trump mise sur une stratégie risquée à savoir le lancement de multiples prototypes pour corriger au fur et à mesure les problèmes rencontrés en vol. Si ce mantra a fait son succès, ses prévisions trop optimistes et ses promesses non tenues inquiètent désormais les observateurs, tout comme le fait qu'il a plusieurs fois appelé à privilégier Mars, son obsession, au détriment de la Lune.
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Alors que le multimilliardaire pensait avoir dissipé les craintes après un vol réussi en août, celles-ci ont resurgi ces dernières semaines, des experts spatiaux estimant que la fusée pourrait ne pas être prête à temps. Cette fusée colossale de plus de 120 mètres, qui doit décoller du Texas lundi à partir de 18H15 (23H15 GMT) pour un 11e vol d'essai, devrait en théorie mener des vols vers Mars à partir de 2026 et permettre aux Américains de retourner sur la Lune en 2027. Mais ces échéances apparaissent de plus en plus difficiles à tenir, "des milliers de défis techniques" restant encore à surmonter selon la propre confession d'Elon Musk. "Nous sommes sur le point de perdre la Lune", ont alerté en septembre trois anciens hauts responsables de la Nasa dans une tribune sur SpaceNews, tandis qu'un panel d'experts indépendant a estimé qu'à ce rythme, la version modifiée de Starship devant servir d'alunisseur pourrait avoir "des années" de retard. "Il est très improbable que nous allions sur la Lune avant la Chine", a également jugé Jim Bridenstine, ancien patron de la Nasa, devant une commission sénatoriale, exhortant Washington à élaborer un plan B. "Course à l'espace" L'enjeu est crucial, l'administration Trump faisant ouvertement référence à "une deuxième course à l'espace" lancée avec cette puissance rivale, après celle que s'étaient livrés les États-Unis et l'Union soviétique lors de la Guerre froide. Or, la mission Artémis 3 qui prévoit le retour des Américains sur le sol lunaire repose en partie sur une fusée Starship ayant démontré sa capacité à mener des voyages interplanétaires en toute sécurité, ce qui n'est pas encore le cas. Après une série noire d'explosions en début d'année, SpaceX a réussi en août à mener un vol en tout en maîtrise de sa mégafusée. Mais de nombreuses étapes doivent encore être franchies, notamment son ravitaillement en carburant une fois dans l'espace, une manoeuvre extrêmement complexe qui ne sera pas tentée lors de ce nouveau vol test. L'entreprise ambitionne à la place de collecter davantage de données sur le propulseur et le vaisseau de sa fusée, qui ne seront pas récupérés lundi mais doivent à terme être entièrement réutilisables. Malgré ces défis à venir et les retards enregistrés, Elon Musk continue d'afficher sa confiance. L'ancien allié de Donald Trump mise sur une stratégie risquée à savoir le lancement de multiples prototypes pour corriger au fur et à mesure les problèmes rencontrés en vol. Si ce mantra a fait son succès, ses prévisions trop optimistes et ses promesses non tenues inquiètent désormais les observateurs, tout comme le fait qu'il a plusieurs fois appelé à privilégier Mars, son obsession, au détriment de la Lune.

13.10.2025 à 20:00

Mondial 2026 : le Cap-Vert écrit l'histoire, le Cameroun espère les barrages

Romain HOUEIX
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Le Cap-Vert s'est qualifié lundi pour la Coupe du monde 2026 en battant l'Eswatini lors de la dernière journée des éliminatoires de la zone Afrique. Deuxième du groupe D, le Cameroun est en bonne position pour accéder aux barrages.
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Le Cap-Vert s'est qualifié lundi pour la Coupe du monde 2026 en battant l'Eswatini lors de la dernière journée des éliminatoires de la zone Afrique. Deuxième du groupe D, le Cameroun est en bonne position pour accéder aux barrages.

13.10.2025 à 19:37

Voile: Sam Goodchild devient le skipper de l'Imoca Macif en remplacement de Charlie Dalin (équipe)

FRANCE24
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Lors d'un point presse à Paris, l'équipe a également officialisé la mise en construction d'un nouveau monocoque, dont la mise à l'eau est prévue au printemps 2027, dans l'espoir de réaliser un doublé sur le Vendée Globe. "Rejoindre un team performant comme celui de la Macif est une réelle opportunité pour moi, cela fait désormais plusieurs mois que je suis au contact de cette équipe et je retrouve beaucoup de bienveillance", a déclaré Goodchild. Le Britannique de 35 ans officiait déjà comme barreur temporaire de l'actuel Imoca Macif depuis le début de la saison en raison des problèmes de santé de Dalin. Accompagné de Loïs Berrehar comme co-skipper, il a notamment remporté la Course des Caps en juillet. Né à Bristol et installé en France depuis 2011, Goodchild a débarqué dans la classe Imoca en 2023 après avoir fait ses classes auprès du Gallois Alex Thomson, en Figaro, en Class40 puis en Ocean Fifty. Il a terminé neuvième du dernier Vendée Globe à bord de Vulnerable. Charlie Dalin, qui a récemment révélé avoir terminé le Vendée Globe 2024/2025 avec une tumeur rare du système digestif, a lui été nommé "conseiller architecte naval" pour la construction du nouveau bateau et "consultant performance" au sein de l'écurie Macif. "Je vais vivre différemment le prochain Vendée Globe, mais finalement, que ce soit à terre ou en mer, je sais que je le vivrai tout aussi intensément", a estimé le marin normand, cité dans un communiqué. "Le prochain Vendée Globe, ce n'est pas possible dans mon cas et dans l'état actuel de la science, mais je garde espoir de revenir un jour, peut-être sur des transatlantiques", avait-il dit mercredi à l'AFP lors d'un entretien à la veille de la sortie de son livre "La force du destin" (Gallimard), dans lequel il raconte son tour du monde avec la maladie. La jeune Charlotte Yven, deuxième de la dernière Solitaire du Figaro – premier podium féminin de l'histoire de la course –, continue elle son aventure avec la Macif en devenant co-skipper de Sam Goodchild à partir de la saison prochaine. À bord du Macif actuel, Goodchild et Loïs Berrehar prendront le départ le 26 octobre de la Transat en double Café L'Or (ex-Transat Jacques Vabre) du Havre en direction de Fort-de-France, en Martinique.
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Lors d'un point presse à Paris, l'équipe a également officialisé la mise en construction d'un nouveau monocoque, dont la mise à l'eau est prévue au printemps 2027, dans l'espoir de réaliser un doublé sur le Vendée Globe. "Rejoindre un team performant comme celui de la Macif est une réelle opportunité pour moi, cela fait désormais plusieurs mois que je suis au contact de cette équipe et je retrouve beaucoup de bienveillance", a déclaré Goodchild. Le Britannique de 35 ans officiait déjà comme barreur temporaire de l'actuel Imoca Macif depuis le début de la saison en raison des problèmes de santé de Dalin. Accompagné de Loïs Berrehar comme co-skipper, il a notamment remporté la Course des Caps en juillet. Né à Bristol et installé en France depuis 2011, Goodchild a débarqué dans la classe Imoca en 2023 après avoir fait ses classes auprès du Gallois Alex Thomson, en Figaro, en Class40 puis en Ocean Fifty. Il a terminé neuvième du dernier Vendée Globe à bord de Vulnerable. Charlie Dalin, qui a récemment révélé avoir terminé le Vendée Globe 2024/2025 avec une tumeur rare du système digestif, a lui été nommé "conseiller architecte naval" pour la construction du nouveau bateau et "consultant performance" au sein de l'écurie Macif. "Je vais vivre différemment le prochain Vendée Globe, mais finalement, que ce soit à terre ou en mer, je sais que je le vivrai tout aussi intensément", a estimé le marin normand, cité dans un communiqué. "Le prochain Vendée Globe, ce n'est pas possible dans mon cas et dans l'état actuel de la science, mais je garde espoir de revenir un jour, peut-être sur des transatlantiques", avait-il dit mercredi à l'AFP lors d'un entretien à la veille de la sortie de son livre "La force du destin" (Gallimard), dans lequel il raconte son tour du monde avec la maladie. La jeune Charlotte Yven, deuxième de la dernière Solitaire du Figaro – premier podium féminin de l'histoire de la course –, continue elle son aventure avec la Macif en devenant co-skipper de Sam Goodchild à partir de la saison prochaine. À bord du Macif actuel, Goodchild et Loïs Berrehar prendront le départ le 26 octobre de la Transat en double Café L'Or (ex-Transat Jacques Vabre) du Havre en direction de Fort-de-France, en Martinique.

13.10.2025 à 19:27

Madagascar : une île fatiguée des promesses, secouée par une énième crise politique

Antoine FLANDRIN
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La Grande Île connaît sa cinquième crise politique depuis l’indépendance en 1960. Sous la pression de "Gen Z Madagascar", le président Andry Rajoelina a quitté l'île de l'océan Indien, semblant laisser la main aux militaires. Une situation aux airs de déjà-vu...
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La Grande Île connaît sa cinquième crise politique depuis l’indépendance en 1960. Sous la pression de "Gen Z Madagascar", le président Andry Rajoelina a quitté l'île de l'océan Indien, semblant laisser la main aux militaires. Une situation aux airs de déjà-vu...
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