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04.05.2025 à 04:53

Natation : Léon Marchand prend la deuxième place sur 200 m 4 nages pour son retour en compétition

FRANCE 24
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Léon Marchand a terminé sa reprise en Floride par une défaite sur 200 m 4 nages, samedi soir, terminant en deuxième position derrière Shaine Casas. Il avait retiré le 200 m brasse de son programme pour se concentrer sur cette course, où il a brillé dans les coulées et la brasse avant de fléchir sur le crawl. 
Léon Marchand a terminé sa reprise en Floride par une défaite sur 200 m 4 nages, samedi soir, terminant en deuxième position derrière Shaine Casas. Il avait retiré le 200 m brasse de son programme pour se concentrer sur cette course, où il a brillé dans les coulées et la brasse avant de fléchir sur le crawl. 

04.05.2025 à 04:41

Après un an de gouvernement de droite, le Portugal repart en campagne

FRANCE24
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Le scrutin de mars 2024 avait vu le pays basculer à droite après huit années de gouvernements socialistes, mais la coalition emmenée par le Premier ministre Luis Montenegro, un juriste de 52 ans, ne disposait pas de majorité au Parlement, où elle a perdu un vote de confiance en mars sur fond de soupçons de conflit d'intérêt. D'après les enquêtes, son Alliance démocratique (AD) est désormais créditée de 32,5% des intentions de vote, contre 27,3% pour le Parti socialiste (PS) et 17% pour la formation d'extrême droite Chega ("Assez"), selon un agrégateur de sondages fourni par la Radio Renascença. Mais la coalition gouvernementale a cette fois-ci "fait le pari d'obtenir une majorité absolue" en négociant le soutien d'une formation libérale créditée de 7% des voix, souligne la politologue Marina Costa Lobo, de l'Institut des sciences sociales (ICS) de l'Université de Lisbonne. "Mais même cela peut ne pas suffire et, par conséquent, la question de la stabilité gouvernementale est absolument centrale", insiste-t-elle auprès de l'AFP. Conscient du risque de se retrouver à nouveau à la tête d'un gouvernement minoritaire, Luis Montenegro, qui continue d'exclure tout accord avec l'extrême droite, a mis en garde les électeurs contre ce scénario. "Si nous n'arrivons pas à garantir la stabilité le jour des élections, le lendemain sera beaucoup plus complexe", a-t-il reconnu samedi. "En ce moment, Luis Montenegro est le principal facteur d'instabilité politique au Portugal", lui répond le chef de l'opposition socialiste, Pedro Nuno Santos, en référence à de nouvelles révélations embarrassantes dans l'affaire qui a provoqué la chute du gouvernement. Accusé de conflit d'intérêts concernant l'activité d'une société de conseil qu'il avait créée avant de la mettre au nom de ses enfants, le Premier ministre avait alors préféré se soumettre à un vote de confiance au Parlement, qu'il a perdu, plutôt que de répondre devant la commission d'enquête parlementaire que l'opposition voulait mettre en place. PIB en baisse M. Montenegro a beau répéter qu'il n'a commis aucune infraction, ce scandale a continué de marquer la période de pré-campagne qui s'est achevée dimanche, et notamment le duel télévisé qui l'a opposé à son principal rival. La gestion de la méga-panne d'électricité qui a touché la péninsule ibérique lundi dernier a également fourni des arguments à l'opposition pour attaquer le gouvernement. Le candidat socialiste a aussi mis en avant la situation économique du Portugal, qui a vu son PIB reculer de 0,5% au premier trimestre, en affirmant vendredi qu'il s'agissait du "pire résultat économique depuis 2021, l'année de la pandémie". Sans réagir à ces données, le gouvernement a choisi d'annoncer samedi que son durcissement de la politique migratoire permettrait le renvoi d'un premier contingent de 18.000 immigrés en situation irrégulière, un clin d'œil aux électeurs de Chega. Avec la crise du logement, la question de l'immigration est devenue centrale dans le débat politique au Portugal, où la population étrangère a été multipliée par quatre depuis 2017, et atteint désormais environ 15% de la population de quelque dix millions d'habitants. "La corruption et l'éthique, avec l'immigration, sont des thèmes centraux du débat politique actuel au Portugal et cela donne une marge de croissance à Chega", note la politologue Marina Costa Lobo. Le parti de droite radicale dirigé par André Ventura, 42 ans, avait réalisé l'an dernier une nouvelle percée électorale, confirmant son statut de troisième force politique du pays avec 18% des voix et une cinquantaine de députés. Avant d'arpenter le pays pendant les deux prochaines semaines, les candidats des partis représentés au Parlement s'affronteront dimanche soir lors d'un débat télévisé à huit.
Texte intégral (641 mots)
Le scrutin de mars 2024 avait vu le pays basculer à droite après huit années de gouvernements socialistes, mais la coalition emmenée par le Premier ministre Luis Montenegro, un juriste de 52 ans, ne disposait pas de majorité au Parlement, où elle a perdu un vote de confiance en mars sur fond de soupçons de conflit d'intérêt. D'après les enquêtes, son Alliance démocratique (AD) est désormais créditée de 32,5% des intentions de vote, contre 27,3% pour le Parti socialiste (PS) et 17% pour la formation d'extrême droite Chega ("Assez"), selon un agrégateur de sondages fourni par la Radio Renascença. Mais la coalition gouvernementale a cette fois-ci "fait le pari d'obtenir une majorité absolue" en négociant le soutien d'une formation libérale créditée de 7% des voix, souligne la politologue Marina Costa Lobo, de l'Institut des sciences sociales (ICS) de l'Université de Lisbonne. "Mais même cela peut ne pas suffire et, par conséquent, la question de la stabilité gouvernementale est absolument centrale", insiste-t-elle auprès de l'AFP. Conscient du risque de se retrouver à nouveau à la tête d'un gouvernement minoritaire, Luis Montenegro, qui continue d'exclure tout accord avec l'extrême droite, a mis en garde les électeurs contre ce scénario. "Si nous n'arrivons pas à garantir la stabilité le jour des élections, le lendemain sera beaucoup plus complexe", a-t-il reconnu samedi. "En ce moment, Luis Montenegro est le principal facteur d'instabilité politique au Portugal", lui répond le chef de l'opposition socialiste, Pedro Nuno Santos, en référence à de nouvelles révélations embarrassantes dans l'affaire qui a provoqué la chute du gouvernement. Accusé de conflit d'intérêts concernant l'activité d'une société de conseil qu'il avait créée avant de la mettre au nom de ses enfants, le Premier ministre avait alors préféré se soumettre à un vote de confiance au Parlement, qu'il a perdu, plutôt que de répondre devant la commission d'enquête parlementaire que l'opposition voulait mettre en place. PIB en baisse M. Montenegro a beau répéter qu'il n'a commis aucune infraction, ce scandale a continué de marquer la période de pré-campagne qui s'est achevée dimanche, et notamment le duel télévisé qui l'a opposé à son principal rival. La gestion de la méga-panne d'électricité qui a touché la péninsule ibérique lundi dernier a également fourni des arguments à l'opposition pour attaquer le gouvernement. Le candidat socialiste a aussi mis en avant la situation économique du Portugal, qui a vu son PIB reculer de 0,5% au premier trimestre, en affirmant vendredi qu'il s'agissait du "pire résultat économique depuis 2021, l'année de la pandémie". Sans réagir à ces données, le gouvernement a choisi d'annoncer samedi que son durcissement de la politique migratoire permettrait le renvoi d'un premier contingent de 18.000 immigrés en situation irrégulière, un clin d'œil aux électeurs de Chega. Avec la crise du logement, la question de l'immigration est devenue centrale dans le débat politique au Portugal, où la population étrangère a été multipliée par quatre depuis 2017, et atteint désormais environ 15% de la population de quelque dix millions d'habitants. "La corruption et l'éthique, avec l'immigration, sont des thèmes centraux du débat politique actuel au Portugal et cela donne une marge de croissance à Chega", note la politologue Marina Costa Lobo. Le parti de droite radicale dirigé par André Ventura, 42 ans, avait réalisé l'an dernier une nouvelle percée électorale, confirmant son statut de troisième force politique du pays avec 18% des voix et une cinquantaine de députés. Avant d'arpenter le pays pendant les deux prochaines semaines, les candidats des partis représentés au Parlement s'affronteront dimanche soir lors d'un débat télévisé à huit.

04.05.2025 à 04:35

Boxe: Surace perd la revanche contre Munguia, Canelo frustré mais vainqueur contre Scull

FRANCE24
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Surace, 26 ans, avait créé en décembre une immense surprise en mettant KO Munguia, star montante de la boxe, sur ses terres. Lors d'un combat catégorie super-moyens débuté à 04H00 du matin (01H00 GMT) afin d'être visible samedi soir aux Etats-Unis et au Mexique, Surace a semblé chercher à résister à son adversaire, qui a boxé avec application. "Le plus important c'était d'avoir la bonne mentalité et ce que j'avais besoin de faire après un combat comme le précédent. Jaime Munguia est là pour rester", a commenté le Mexicain sur le ring. Les deux juges ont donné Munguia vainqueur à 117 contre 111. Surace, entré sur l'air de "La corrida" de Francis Cabrel dans une salle quasiment vide, a ainsi subi la première défaite de sa carrière (26 victoires, 2 nuls). Munguia (45 victoires, 2 défaites) s'est lui relancé après sa défaite contre le Français, et un an après avoir été dominé par son compatriote Saul Canelo Alvarez, star de la réunion de Ryad, qui combattra en fin de programme face au Cubain William Scull. Le 14 décembre, Surace n'était théoriquement que le "faire-valoir" du redouté Munguia, en pleine préparation d'un combat pour une ceinture mondiale. Mais sur un seul coup, une droite parfaite au 6e round, le Marseillais avait renversé le Mexicain, les pronostics et le cours d'une carrière jusqu'alors confidentielle. Dimanche, il a sûrement gagné le respect du monde de la boxe et rassuré sur sa capacité à tenir lors de grands combats, celui-là en 12 rounds. "Brunello" a bien attaqué au premier round, déclenchant les encouragements de son entraîneur: "c'est parfait Bruno, il ne faut pas en faire plus, prends ton temps, ça va marcher". Munguia a progressivement pris le dessus dans un combat sans grande envolée, Surace résistant parfois dans les cordes mais peinant à répliquer. D'après le site de référence Compubox, Munguia a réussi à placer 105 coups contre 64 pour Surace (77 nets contre 35), en insistant notamment au corps (51 contre 10). "Je déteste ce genre de combattant" Deux heures plus tard, Canelo Alvarez, 34 ans, a de nouveau unifié les super-moyens après un combat frustrant gagné à l'unanimité des juges contre le Cubain William Scull. Canelo, détenteur des ceintures WBC, WBA et WBO, a récupéré la ceinture IBF de Scull qu'il avait abandonné l'an passé en refusant de combattre alors son challenger officiel. Scull, 32 ans, qui a essuyé là sa première défaite, a été particulièrement fuyant, avec un jeu de jambes efficace, mais sans parvenir à contre-attaquer. "Je n'aime pas boxer ce genre de gars, ils viennent juste pour survivre. Un boxeur qui n'essaie pas de gagner, qui veut juste survivre, je déteste ce genre de combattant", a râlé Canelo sur le ring après le combat. Canelo (63 victoires, 2 défaites), qui tenait le centre du ring, a réussi à placer principalement des coups au corps, mais s'est frustré à mesure que le combat avançait. Il a désormais rendez-vous avec l'Américain Terence Crawford, champion des super-welters, pour un combat à Las Vegas le 12 septembre. "Crawford est l'un des meilleurs, ça va être un plaisir", a ajouté le Mexicain.
Texte intégral (537 mots)
Surace, 26 ans, avait créé en décembre une immense surprise en mettant KO Munguia, star montante de la boxe, sur ses terres. Lors d'un combat catégorie super-moyens débuté à 04H00 du matin (01H00 GMT) afin d'être visible samedi soir aux Etats-Unis et au Mexique, Surace a semblé chercher à résister à son adversaire, qui a boxé avec application. "Le plus important c'était d'avoir la bonne mentalité et ce que j'avais besoin de faire après un combat comme le précédent. Jaime Munguia est là pour rester", a commenté le Mexicain sur le ring. Les deux juges ont donné Munguia vainqueur à 117 contre 111. Surace, entré sur l'air de "La corrida" de Francis Cabrel dans une salle quasiment vide, a ainsi subi la première défaite de sa carrière (26 victoires, 2 nuls). Munguia (45 victoires, 2 défaites) s'est lui relancé après sa défaite contre le Français, et un an après avoir été dominé par son compatriote Saul Canelo Alvarez, star de la réunion de Ryad, qui combattra en fin de programme face au Cubain William Scull. Le 14 décembre, Surace n'était théoriquement que le "faire-valoir" du redouté Munguia, en pleine préparation d'un combat pour une ceinture mondiale. Mais sur un seul coup, une droite parfaite au 6e round, le Marseillais avait renversé le Mexicain, les pronostics et le cours d'une carrière jusqu'alors confidentielle. Dimanche, il a sûrement gagné le respect du monde de la boxe et rassuré sur sa capacité à tenir lors de grands combats, celui-là en 12 rounds. "Brunello" a bien attaqué au premier round, déclenchant les encouragements de son entraîneur: "c'est parfait Bruno, il ne faut pas en faire plus, prends ton temps, ça va marcher". Munguia a progressivement pris le dessus dans un combat sans grande envolée, Surace résistant parfois dans les cordes mais peinant à répliquer. D'après le site de référence Compubox, Munguia a réussi à placer 105 coups contre 64 pour Surace (77 nets contre 35), en insistant notamment au corps (51 contre 10). "Je déteste ce genre de combattant" Deux heures plus tard, Canelo Alvarez, 34 ans, a de nouveau unifié les super-moyens après un combat frustrant gagné à l'unanimité des juges contre le Cubain William Scull. Canelo, détenteur des ceintures WBC, WBA et WBO, a récupéré la ceinture IBF de Scull qu'il avait abandonné l'an passé en refusant de combattre alors son challenger officiel. Scull, 32 ans, qui a essuyé là sa première défaite, a été particulièrement fuyant, avec un jeu de jambes efficace, mais sans parvenir à contre-attaquer. "Je n'aime pas boxer ce genre de gars, ils viennent juste pour survivre. Un boxeur qui n'essaie pas de gagner, qui veut juste survivre, je déteste ce genre de combattant", a râlé Canelo sur le ring après le combat. Canelo (63 victoires, 2 défaites), qui tenait le centre du ring, a réussi à placer principalement des coups au corps, mais s'est frustré à mesure que le combat avançait. Il a désormais rendez-vous avec l'Américain Terence Crawford, champion des super-welters, pour un combat à Las Vegas le 12 septembre. "Crawford est l'un des meilleurs, ça va être un plaisir", a ajouté le Mexicain.
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