Indépendantistes et non-indépendantistes sont enfermés, jusqu’à mercredi, dans un hôtel isolé. Un huis clos qui doit permettre une « plus grande sérénité des échanges » et, le ministre des outre-mer l’espère, vaincre les réticences des plus radicaux.
Indépendantistes et non-indépendantistes sont enfermés, jusqu’à mercredi, dans un hôtel isolé. Un huis clos qui doit permettre une « plus grande sérénité des échanges » et, le ministre des outre-mer l’espère, vaincre les réticences des plus radicaux.