Alors que le président américain dit n’avoir « rien à offrir » à l’Iran et que Téhéran refuse de négocier avec le protecteur de l’Etat hébreu, l’horizon diplomatique pour une solution négociée reste des plus brumeux, explique, dans sa chronique, Philippe Ricard, journaliste au « Monde ».
Alors que le président américain dit n’avoir « rien à offrir » à l’Iran et que Téhéran refuse de négocier avec le protecteur de l’Etat hébreu, l’horizon diplomatique pour une solution négociée reste des plus brumeux, explique, dans sa chronique, Philippe Ricard, journaliste au « Monde ».