L’engouement des «années raï» où l’on célébrait la France «black, blanc, beur» a pris fin avec les années 1990. Mais, en danse comme en musique, la diaspora continue à enraciner une culture commune qui estompe les passions douloureuses entre les deux pays, analyse l’historienne.
L’engouement des «années raï» où l’on célébrait la France «black, blanc, beur» a pris fin avec les années 1990. Mais, en danse comme en musique, la diaspora continue à enraciner une culture commune qui estompe les passions douloureuses entre les deux pays, analyse l’historienne.