Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines et leur cortège d’impacts sur l’environnement augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus. La perte de nature est le facteur principal, suivi des espèces invasives, du changement climatique et de la pollution chimique.
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines et leur cortège d’impacts sur l’environnement augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus. La perte de nature est le facteur principal, suivi des espèces invasives, du changement climatique et de la pollution chimique.