En appelant à un vote de confiance surprise le 8 septembre, le Premier ministre joue d’abord une carte personnelle censée, dans son esprit, lui conférer un statut d’homme assumant de dire la vérité.
En appelant à un vote de confiance surprise le 8 septembre, le Premier ministre joue d’abord une carte personnelle censée, dans son esprit, lui conférer un statut d’homme assumant de dire la vérité.