Dans un avis rendu public le 13 août, une composante des Nations unies critique sévèrement les bases légales de l’emprisonnement de Tayeb Benabderrahmane par l’émirat, évoquant également «des actes de torture». Une victoire pour le lobbyiste, en guerre ouverte avec le président du club de foot depuis sa libération.
Dans un avis rendu public le 13 août, une composante des Nations unies critique sévèrement les bases légales de l’emprisonnement de Tayeb Benabderrahmane par l’émirat, évoquant également «des actes de torture». Une victoire pour le lobbyiste, en guerre ouverte avec le président du club de foot depuis sa libération.