Le pays scandinave, qui a pris mardi 1er juillet la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne pour six mois, a longtemps fait partie des plus sceptiques sur l’approfondissement et l’endettement commun, avant que la conflit en Ukraine ne vienne changer la donne.
Le pays scandinave, qui a pris mardi 1er juillet la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne pour six mois, a longtemps fait partie des plus sceptiques sur l’approfondissement et l’endettement commun, avant que la conflit en Ukraine ne vienne changer la donne.