Ramadan Nishori a bravé la honte et la douleur. Mi-avril, cet Albanais de 48 ans a raconté publiquement son viol, subi en septembre 1998. Un moment qualifié d’historique par la presse des Balkans, où ce crime de guerre a fait des ravages.
Ramadan Nishori a bravé la honte et la douleur. Mi-avril, cet Albanais de 48 ans a raconté publiquement son viol, subi en septembre 1998. Un moment qualifié d’historique par la presse des Balkans, où ce crime de guerre a fait des ravages.