Trente ans jour pour jour après l’explosion meurtrière du RER B à Saint‑Michel, le spectre d’une « exécution d’État » hante toujours la mort de Khaled Kelkal. À l’ombre de la guerre civile algérienne, le conspirationnisme prospère.
Trente ans jour pour jour après l’explosion meurtrière du RER B à Saint‑Michel, le spectre d’une « exécution d’État » hante toujours la mort de Khaled Kelkal. À l’ombre de la guerre civile algérienne, le conspirationnisme prospère.