Le président s’en est, une fois encore, pris mardi à son ancien allié pour les aides qu’il touche de l’État américain, sans lesquelles « il aurait dû fermer boutique ».
Le président s’en est, une fois encore, pris mardi à son ancien allié pour les aides qu’il touche de l’État américain, sans lesquelles « il aurait dû fermer boutique ».