Jusqu’ici peu connu en France, le groupe de rap irlandais Kneecap s’est retrouvé sous les projecteurs pour s’être attiré les foudres de la fachosphère, de Bruno Retailleau au gouvernement de Viktor Orbán. Défenseurs des luttes décoloniales, en premier lieu celles de l’Irlande et de la Palestine, DJ Provai, Moglai Bap et Mo Chara sont la cible de tentatives de censure et d’attaques judiciaires. Quand nous les rencontrons, début septembre, dans leur loge au Trianon (où ils se sont produits deux soirs d’affilée), les membres du groupe irlandais Kneecap semblent bien loin de la haine dont ils font l’objet.
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Jusqu’ici peu connu en France, le groupe de rap irlandais Kneecap s’est retrouvé sous les projecteurs pour s’être attiré les foudres de la fachosphère, de Bruno Retailleau au gouvernement de Viktor Orbán. Défenseurs des luttes décoloniales, en premier lieu celles de l’Irlande et de la Palestine, DJ Provai, Moglai Bap et Mo Chara sont la cible de tentatives de censure et d’attaques judiciaires. Quand nous les rencontrons, début septembre, dans leur loge au Trianon (où ils se sont produits deux soirs d’affilée), les membres du groupe irlandais Kneecap semblent bien loin de la haine dont ils font l’objet.