26.09.2025 à 03:29
« Vous avez assez de cette bande de racailles ? Eh ben on va vous en débarrasser ! » icolas Sarkozy a tenu parole. En visite dans un quartier populaire d'Argenteuil le 26e octobre 2005, il s'en prenait à d'invisibles délinquants. Vingt ans plus tard, en effet, nous en voilà débarrassés sauf que c'est lui, Sarkozy, la principale racaille condamnée à cinq ans de prison ferme.
Continuer la lecture…23.09.2025 à 12:12
Si vous pensiez que la chanson Hurricane de Bob Dylan évoquait le changement climatique, vous avez tout faux. « Hurricane », c'était le surnom du boxeur américain Rubin Carter. En 1966, le poids moyen est arrêté et condamné pour le meurtre de trois personnes, crime dont il sera finalement acquitté plus de vingt ans plus tard. Olivier Besancenot vous raconte comme Bob Dylan s'est battu pour faire libérer Rubin « Hurricane » Carter, avec cette chanson de 1975 : Hurricane.
Continuer la lecture…20.09.2025 à 09:50
Et le saviez-vous ? Le génocide crée des emplois ! C'est Mr. Fish qui nous apprend ça. Mr. Fish est le dessinateur le plus grinçant et le plus génial de la presse américaine. Avec l' ouverture de la chasse aux sorcières, il se pourrait bien que ce genre-là ne plaise pas trop à la censure qui se met en place au merveilleux pays de la liberté d'expression. Voilà comment Mr. Fish illustre une affaire toute récente.
Continuer la lecture…19.11.2024 à 00:01
Il est bien sûr l'un des plus grands poètes palestiniens, mais aussi sans doute le poète de langue arabe le plus lu dans le monde, dont la renommée est toujours internationale, quinze ans après sa disparition.
Riche de dizaines de publications en vers mais aussi en prose, son œuvre a été traduite dans le monde entier. C'est l'ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l'UNESCO, Elias Sanbar, qui l'a traduit en français. Si on ne mesure pas forcément en France toute l'importance de Mahmoud Darwich, c'est que les Français n'accordent plus à la poésie la place qu'elle occupe toujours dans le monde arabe, et singulièrement Pour les Palestiniens. Comme l'explique Elias Sanbar, « dans la culture palestinienne, dans la mesure où c'est un peuple qui est privé de ses lieux, il peut habiter le poème. C'est pour cela que par exemple quand l'exil commence en 1948, les gens transportent avec eux des poèmes, et pas des romans ».
Continuer la lecture…12.12.2016 à 23:31