15.11.2025 à 19:46

Aidez-nous à résister !
Une invitation chez Pascal Praud, des places d'honneur pour le Puy du Fou, le financement de Là-bas par la fondation « Nazisme et dialogue »… pas un jour sans une proposition de plus en plus directe. « Sortez de votre confinement wokiste, comme les gauchistes qui sont passés du col Mao au Rotary, prenez le train de l'histoire. »
Il est vrai que le renégat est toujours apprécié, toujours mis en avant. Il sait de quoi il parle, il y a cru fort mais finies les illusions. Il peut témoigner des erreurs et des horreurs, il est invité partout, il n'a plus qu à entretenir son fonds de commerce…
Continuer la lecture…14.11.2025 à 17:04

Pour la première fois de son histoire, le Parlement japonais a élu une femme au poste de Première ministre. Et pas n'importe laquelle ! Sanae Takaichi, 64 ans, est présidente du Parti libéral-démocrate. Elle est fan de Margaret Thatcher, trouve qu'il y a un petit peu trop d'immigrés au Japon et juge surtout, à rebours de toute repentance, que son pays n'a pas à avoir honte de s'être défendu dans les années 1930 et les années 1940. Le Japon serait-il devenu le paradis pour les nationalistes du monde entier ? Réponse dans Le Guide du droitard de la semaine.
Continuer la lecture…29.03.2021 à 02:35

« Le mort est encore intact dans son cercueil, et sa mémoire tombe déjà en pourriture. » Cent cinquante ans après la Commune de Paris, les mots de Jules Vallès dans L'Insurgé, décrivant les derniers jours de la Semaine sanglante en mai 1871, résonnent encore tragiquement. Condamner la Commune, effacer sa mémoire, voilà cent cinquante ans que le camp des Versaillais s'y emploie obstinément. Encore ces jours derniers, le sépulcral Pierre Nora se prononçait contre cette commémoration car la Commune « n'a pas apporté grand-chose à la construction de la République ». Il préfère que la France commémore Napoléon dont il vante les mérites, oubliant le désastre imbécile des guerres napoléoniennes qui firent entre trois et six millions de victimes. Aujourd'hui, les 150 ans de la Commune ont le mérite de rappeler l'antagonisme fondamental de notre histoire, une barricade comporte deux côtés, on est de l'un ou de l'autre, il faut choisir son camp.
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